The Nancy - Rogers Stan

There were countless skirmishes on the Great Lakes between ships and boats of

all makes and sizes during the War of 1812-14. "Well", Stan said, "we won the

damned war but from some of the accounts you'd really have to wonder how!"]



The clothes men wear do give them airs, the fellows do compare.

A colonel's regimentals shine, and women call them fair.

I am Alexander MacIntosh, a nephew to the Laird

And I do distain men who are vain, the men with powdered hair.



I command the Nancy Schooner from the Moy on Lake St. Claire.

On the third day of October, boys, I did set sail from there.

To the garrison at Amherstburg I quickly would repair

With Captain Maxwell and his wife and kids and powdered hair.



Aboard the Nancy

In regimentals bright.

Aboard the Nancy

With all his pomp and bluster there, aboard the Nancy-o.



Below the St. Clair rapids I sent scouts unto the shore

To ask a friendly Whyandot to say what lay before.

"Amherstburg has fallen, with the same for you in store!

And militia sent to take you there, fifty horse or more."



Up spoke Captain Maxwell then, "Surrender, now, I say!

Give them your Nancy schooner and make off without delay!

Set me ashore, I do implore. I will not die this way!"

Says I, "You go, or get below, for I'll be on my way!"



Aboard the Nancy!

"Surrender, Hell!" I say.

Aboard the Nancy

"It's back to Mackinac I'll fight, aboard the Nancy-o."



Well up comes Colonel Beaubien, then, who shouts as he comes near.

"Surrender up your schooner and I swear you've naught to fear.

We've got your Captain Maxwell, sir, so spare yourself his tears."

Says I, "I'll not but send you shot to buzz about your ears."



Well, they fired as we hove anchor, boys, and we got under way,

But scarce a dozen broadsides, boys, the Nancy they did pay

Before the business sickened them. They bravely ran away.

All sail we made, and reached the Lake before the close of day.



Aboard the Nancy!

We sent them shot and cheers.

Aboard the Nancy!

We watched them running through the trees, aboard the Nancy-o.



Oh, military gentlemen, they bluster, roar and pray.

Nine sailors and the Nancy, boys, made fifty run away.

The powder in their hair that day was powder sent their way

By poor and ragged sailor men, who swore that they would stay.



Aboard the Nancy!

Six pence and found a day

Aboard the Nancy!

No uniforms for men to scorn, aboard the Nancy-o

Il y avait d'innombrables escarmouches sur les Grands Lacs entre les navires et les bateaux de

toutes les marques et tailles pendant la guerre de 1812-14. "Eh bien", a déclaré Stan, "nous avons remporté le

maudite guerre mais d'après certains comptes, il faudrait vraiment se demander comment! "]



Les vêtements que les hommes portent leur donnent un air, les boursiers se comparent.

Les régimentaires d'un colonel brillent et les femmes les appellent justes.

Je suis Alexander MacIntosh, neveu du Laird

Et je déteste les hommes vains, les hommes aux cheveux poudrés.



Je commande le Nancy Schooner depuis le Moy sur le lac Sainte-Claire.

Le troisième jour d'octobre, les garçons, je suis parti de là.

À la garnison d'Amherstburg, je réparerais rapidement

Avec le capitaine Maxwell et sa femme et ses enfants et les cheveux en poudre.



A bord du Nancy

Dans les régiments brillants.

A bord du Nancy

Avec toute sa pompe et son fanfaron là-bas, à bord du Nancy-o.



Au-dessous des rapides de St. Clair, j'ai envoyé des éclaireurs sur le rivage

Pour demander à un Whyandot amical de dire ce qui nous attendait.

"Amherstburg est tombé, avec la même chose pour vous en magasin!

Et des miliciens ont été envoyés pour vous y emmener, cinquante chevaux ou plus. "



Le capitaine Maxwell a alors parlé: "Rendez-vous, maintenant, je dis!

Donnez-leur votre goélette Nancy et repartez sans tarder!

Mettez-moi à terre, j'implore. Je ne mourrai pas de cette façon! "

Dit je, "Vous allez, ou descendez, car je serai sur mon chemin!"



A bord du Nancy!

"Rendez-vous, enfer!" Dis-je.

A bord du Nancy

"C'est de retour à Mackinac que je vais me battre, à bord du Nancy-o."



Le colonel Beaubien se lève alors, qui crie en s'approchant.

"Rendez votre goélette et je jure que vous n'avez rien à craindre.

Nous avons votre capitaine Maxwell, monsieur, alors épargnez-vous ses larmes. "

Dit moi, "je ne vais pas mais vous envoyer un coup de feu pour bourdonner sur vos oreilles."



Eh bien, ils ont tiré alors que nous levions l'ancre, les garçons, et nous avons commencé,

Mais à peine une douzaine de flancs, les garçons, le Nancy qu'ils ont payé \u003cbr />
Avant que l'entreprise ne les rende malades. Ils se sont courageusement enfuis.

Toutes les voiles que nous avons faites ont atteint le lac avant la fin de la journée.



A bord du Nancy!

Nous leur avons envoyé des coups de feu et des acclamations.

A bord du Nancy!

Nous les avons regardés courir à travers les arbres, à bord du Nancy-o.



Oh, messieurs les militaires, ils fanfaronnent, rugissent et prient.

Neuf marins et les Nancy, garçons, ont fui cinquante.

La poudre dans leurs cheveux ce jour-là était de la poudre envoyée dans leur chemin

Par des marins pauvres et en lambeaux, qui ont juré de rester.



A bord du Nancy!

Six pence et trouvé un jour

A bord du Nancy!

Pas d'uniformes à dédaigner pour les hommes, à bord du Nancy-o