The Watch - Rogers Stan

Originally called 'The Midland' after a lake steamer called 'The City of

Midland', this song is the true accounting of the final disposal of one of the

workers of the Lakes. I know Stan just couldn't resist the comparisons to how

we treat our retiring workers!]



They dragged her down, dead, from Tobermory,

Too cheap to spare her one last head of steam,

Deep in diesel fumes embraced,

Rust and soot upon the face of one who was so clean.



They brought me here to watch her in the boneyard,

Just two old wrecks to spend the night alone.

It's the dark inside this evil place.

Clouds on the moon hide her disgrace;

This whiskey hides my own.





CHORUS



It's the last watch on the Midland,

The last watch alone,

One last night to love her,

The last night she's whole.





My guess is that we were young together.

Like her's, my strength was young and hard as steel.

And like her too, I knew my ground;

I scarcely felt the years go round

In answer to the wheel.



But then they quenched the fire beneath the boiler,

Gave me a watch and showed me out the door.

At sixty-four, you're still the best;

One year more, and then you're less

Than dust upon the floor.



CHORUS



So here's to useless superannuation

And us old relics of the days of steam.

In the morning, Lord, I would prefer

WHen men with torches come for her,

Let angels come for me.



CHORUS



It's the last watch on the Midland,

The last watch alone,

One last night to love her,

The last might she's whole

Initialement appelé «The Midland après un bateau à vapeur de lac appelé «The City of

Midland ', cette chanson est le véritable compte rendu de l'élimination finale de l'un des

travailleurs des lacs. Je sais que Stan ne pouvait tout simplement pas résister aux comparaisons avec la façon dont

nous traitons nos travailleurs qui partent à la retraite!]



Ils l'ont traînée, morte, de Tobermory,

Trop bon marché pour lui épargner une dernière tête de vapeur,

Au fond des fumées diesel embrassées,

Rouille et suie sur le visage d'une personne si propre.



Ils m'ont amené ici pour la regarder dans le boneyard,

Juste deux vieilles épaves pour passer la nuit seul.

C'est l'obscurité à l'intérieur de cet endroit diabolique.

Les nuages ​​sur la lune cachent sa disgrâce;

Ce whisky cache le mien.





CH?UR



C'est la dernière montre du Midland,

La dernière montre seule,

Une dernière nuit pour l'aimer,

La dernière nuit, elle est entière.





Je suppose que nous étions jeunes ensemble.

Comme elle, ma force était jeune et dure comme de l'acier.

Et comme elle aussi, je connaissais mon terrain;

Je sentais à peine que les années tournaient

En réponse à la roue.



Mais ensuite ils ont éteint le feu sous la chaudière,

M'a donné une montre et m'a montré la porte.

À soixante-quatre ans, vous êtes toujours le meilleur;

Un an de plus, et puis tu es moins

Que de la poussière sur le sol.



CH?UR



Voici donc une pension de retraite inutile

Et nous, vieilles reliques du temps de la vapeur.

Le matin, Seigneur, je préférerais

Quand des hommes avec des torches viennent la chercher,

Laissez les anges venir pour moi.



CH?UR



C'est la dernière montre du Midland,

La dernière montre seule,

Une dernière nuit pour l'aimer,

La dernière pourrait-elle être entière