The House Of Orange - Rogers Stan

Stan introduced this song on stage, "I don't care what your politics are, when

our children are dying in the streets, it's time to put away the guns." He

said he'd never write a political song, but he did and we thank him for it. It

is fitting that it be the last on the album as it was the last one he wrote.]



I took back my hand and I showed him the door

No dollar of mine would I part with this day

For fueling the engines of bloody cruel war

In my forefather's land far away.

Who fled the first Famine wearing all that they owned,

Were called 'Navigators', all ragged and torn,

And built the Grand Trunk here, and found a new home

Wherever their children were born.



Their sons have no politics. None call recall

Allegiance from long generations before.

O'this or O'that name just can't mean a thing

Or be cause enough for to war.

And meanwhile my babies are safe in their home,

Unlike their pale cousins who shiver and cry

While kneecappers nail their poor Dads to the floor

And teach them to hate and to die.



It's those cruel beggars who spurn the fair coin.

The peace for their kids they could take at their will.

Since the day old King Billy prevailed at the Boyne,

They've bombed and they've slain and they've killed.

Now they cry out for money and wail at the door

But Home Rule or Republic, 'tis all of it shame;

And a curse for us here who want nothing of war.

We're kindred in nothing but name.



All rights and all wrongs have long since blown away,

For causes are ashes where children lie slain.

Yet the damned U.D.I and the cruel I.R.A.

Will tomorrow go murdering again.

But no penny of mine will I add to the fray.

"Remember the Boyne!" they will cry out in vain,

For I've given my heart to the place I was born

And forgiven the whole House of Orange

King Billy and the whole House of Orange

Stan a présenté cette chanson sur scène, "Je me fiche de votre politique, quand

nos enfants meurent dans les rues, il est temps de ranger les armes. "Il

a dit qu'il n'écrirait jamais une chanson politique, mais il l'a fait et nous l'en remercions. Il

convient que ce soit le dernier de l'album car c'est le dernier qu'il a écrit.]



J'ai repris ma main et je lui ai montré la porte

Je ne me séparerais pas de ce jour

Pour alimenter les moteurs d'une guerre cruelle sanglante

Dans la terre de mon ancêtre au loin.

Qui a fui la première Famine portant tout ce qu'ils possédaient,

Ont été appelés Navigateurs, tous en lambeaux et déchirés,

Et construit le Grand Tronc ici, et trouvé une nouvelle maison

Partout où leurs enfants sont nés.



Leurs fils n'ont pas de politique. Aucun rappel d'appel

Allégeance de longues générations avant.

O'this ou O'that nom ne peut pas signifier une chose

Ou soyez assez pour faire la guerre.

Et pendant ce temps, mes bébés sont en sécurité dans leur maison,

Contrairement à leurs cousins ​​pâles qui tremblent et pleurent

Pendant que les genoux clouent leurs pauvres papas au sol

Et leur apprendre à haïr et à mourir.



Ce sont ces mendiants cruels qui rejettent la belle pièce.

La paix pour leurs enfants qu'ils pouvaient prendre à leur guise.

Depuis que le roi Billy a régné à Boyne,

Ils ont bombardé et ils ont tué et ils ont tué.

Maintenant, ils crient pour de l'argent et pleurent à la porte

Mais Home Rule ou Republic, c'est tout cela de la honte;

Et une malédiction pour nous ici qui ne voulons rien de la guerre.

Nous ne sommes proches que du nom.



Tous les droits et tous les torts ont depuis longtemps disparu,

Car les causes sont des cendres où les enfants sont tués.

Pourtant, le damné U.D.I et le cruel I.R.A.

Demain, ira de nouveau assassiner.

Mais aucun de mes centimes ne sera ajouté à la mêlée.

"Souviens-toi de la Boyne!" ils vont crier en vain,

Car j'ai donné mon c?ur à l'endroit où je suis né \u003cbr />
Et pardonné à toute la maison d'Orange

Le roi Billy et toute la maison d'Orange