Make And Break Harbour - Rogers Stan

How still lies the bay, in the light western airs

Which blow from the crimson horizon

Once more we tack home, with a dry empty hole

Saving nets with the breezes so fair

She's a kindly cape islander, old but still sound

But so lost in the long liners shadow

Make and Break and make do, but the fish are so few

That she won't be replaced should she flounder



Now its so hard to not think of before the big war

When the cod went so cheap, but so plenty

Foreign trawlers go by now with long seeking eyes

Taking all where we seldom take any

And the young folk don't stay with the fisherman's ways

Long ago they all moved to the cities

And the ones left behind old and tired and blind

Won't work for a pound, for a penny.



In Make and Break Harbour the boats are so few

Too many are hold up and rotten.

Most towns stand empty old nets hung to dry

Are blown away lost and forgotten



Now I can see the big draggers that stirred up the bay

Leaving lobster traps smashed on the bottom

And they think it don't pay to respect the old ways

That make and break men have not forgotten

For we still keep our time to the turn of the tide

In this boat that I built with my father

Still lifts to the sky, "wan loller" and I

Still talk like old friends on the water

Comment se trouve encore la baie, dans les légers airs occidentaux

Qui souffle de l'horizon cramoisi

Une fois de plus, nous rentrons à la maison, avec un trou vide et sec

Sauver les filets avec les brises si justes

C'est une insulaire de cape aimable, vieille mais toujours saine

Mais si perdu dans l'ombre des palangriers

Faire et casser et faire faire, mais les poissons sont si peu nombreux

Qu'elle ne sera pas remplacée si elle patauge



Maintenant c'est si difficile de ne pas penser avant la grande guerre

Quand la morue est devenue si bon marché, mais tellement abondante

Les chalutiers étrangers passent maintenant avec de longs yeux qui cherchent

Prenant tout où nous en prenons rarement

Et les jeunes ne restent pas dans les habitudes des pêcheurs

Il y a longtemps, ils ont tous déménagé dans les villes

Et ceux laissés derrière eux vieux et fatigués et aveugles

Ne fonctionnera pas pour une livre, pour un sou.



Dans Make and Break Harbor, les bateaux sont si peu nombreux

Trop nombreux sont retenus et pourris.

La plupart des villes tiennent de vieux filets vides suspendus pour sécher

Sont emportés, perdus et oubliés



Maintenant je peux voir les gros draggers qui ont remué la baie

Laissant des casiers à homard brisés sur le fond

Et ils pensent que cela ne paie pas de respecter les anciennes méthodes

Que les hommes qui font et qui cassent n'ont pas oublié \u003cbr />
Car nous gardons toujours notre temps au tournant de la marée

Dans ce bateau que j'ai construit avec mon père

Se lève toujours vers le ciel, "wan loller" et moi

Parle toujours comme de vieux amis sur l'eau