Flying Cloud - Unknown

The Flying Cloud



My name is Arthur Hollandin, as you may understand

I was born ten miles from Dublin Town, down on the salt-sea strand,

When I was young and' comely, sure, good fortune on me shone,

My parents loved me tenderly for I was their only son.



My father he rose up one day and with him I did go,

He bound me as a butcher's boy to Pearson of Wicklow,

1 wore the bloody apron there for three long years and more,

Till I shipped on board of The Ocean Queen belonging to Tramore.



It was on Bermuda's island that I met with Captain Moore,

The Captain of The Flying Cloud, the pride of Baltimore,

I undertook to ship with him on a slaving voyage to go,

To the burning shores of Africa, where the sugar cane does grow.



It all went well until the day we reached old Africa's shore,

And five hundred of them poor slaves, me boys, from their native land we bore,

Each man was loaded down with chains as we made them walk below,

Just eighteen inches of space was all that each man had to show.



The plague it came and fever too and killed them off like flies,

We dumped their bodies on the deck and hove them overside,

For sure, the dead were the lucky ones for they'd have to weep no more,

Nor drag the chain and feel the lash in slavery for evermore.



But now our money it is all spent, we must go to sea once more,

And all but five remained to listen to the words of Captain Moore,

'There's gold and silver to be had if with me you'll remain,

Let's hoist the pirate flag aloft and sweep the Spanish Main.'



The Flying Cloud was a Yankee ship, five hundred tons or more,

She could outsail any clipper ship hailing out of Baltimore,

With her canvas white as the driven snow and on it there's no specks,

And forty men and fourteen guns she carried below her decks.



We plundered many a gallant ship down on the Spanish Main,

Killed many a man and left his wife and children to remain,

To none we showed no kindness but gave them watery graves ,

For the saying of our captain was: "Dead men tell no tales. "



We ran and fought with many a ship, both frigates and liners too,

Till, at last, a British Man-O-War, The Dunmow, hove in view,

She fired a shot across our bows as we ran before the wind,

And a chainshot cut our mainmast down and we fell far behind.



They beat our crew to quarters as they drew up alongside,

And soon across our quarter-deck there ran a crimson tide,

We fought until they killed our captain and twenty of our men,

Then a bombshell set our ship on fire, we had to surrender then.



It's now to Newgate we have come, bound down with iron chains ,

For the sinking and the plundering of ships on the Spanish Main,

The judge he has condemned us and we are condemned to die.

Young men a warning by me take and shun all piracy.



Farewell to Dublin City. and the girl that I adore,

I'll never kiss your cheek again nor hold your hand no more,

Whiskey and bad company have made a wretch of me,

Young men, a warning by me take and shun all piracy.



Recorded by Killen,also MacColl and Seeger

@sailor @pirate @slave

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY

Le nuage volant



Je m'appelle Arthur Hollandin, comme vous pouvez le comprendre

Je suis né à dix miles de la ville de Dublin, sur le brin de mer salée,

Quand j'étais jeune et que la bonne fortune est venue, bien sûr, j'ai brillé,

Mes parents m'aimaient tendrement car j'étais leur fils unique.



Mon père, il s'est levé un jour et avec lui je suis allé,

Il m'a lié en tant que garçon de boucher à Pearson de Wicklow,

J'y ai porté le tablier sanglant pendant trois longues années et plus,

Jusqu'à ce que j'embarque à bord de l'Ocean Queen appartenant à Tramore.



C'est sur l'île des Bermudes que j'ai rencontré le capitaine Moore,

Le capitaine de The Flying Cloud, la fierté de Baltimore,

Je me suis engagé à expédier avec lui lors d'un voyage de servitude pour y aller,

Sur les rives brûlantes de l'Afrique, où la canne à sucre pousse.



Tout s'est bien passé jusqu'au jour où nous avons atteint le vieux rivage de l'Afrique,

Et cinq cents d'entre eux pauvres esclaves, moi les garçons, de leur terre natale que nous avions,

Chaque homme était chargé de chaînes pendant que nous les faisions marcher en dessous,

Tout juste dix-huit pouces d'espace était tout ce que chaque homme devait montrer.



La peste est venue et la fièvre aussi et les a tués comme des mouches,

Nous avons jeté leurs corps sur le pont et les avons mis dehors,

Bien sûr, les morts ont eu de la chance car ils n'auraient plus à pleurer,

Ni traîner la chaîne et sentir les cils en esclavage pour toujours.



Mais maintenant que notre argent est tout dépensé, nous devons retourner en mer,

Et tous, sauf cinq, sont restés pour écouter les paroles du capitaine Moore,

"Il y a de l'or et de l'argent si vous restez avec moi,

Levons le drapeau pirate en l'air et balayons le Main espagnol. "



Le Flying Cloud était un navire yankee, cinq cents tonnes ou plus,

Elle pourrait devancer n'importe quel navire tondeuse originaire de Baltimore,

Avec sa toile blanche comme la neige entraînée et sur elle il n'y a pas de taches,

Et quarante hommes et quatorze fusils qu'elle portait sous ses ponts.



Nous avons pillé de nombreux vaisseaux galants sur le Main espagnol,

Tué de nombreux hommes et laissé sa femme et ses enfants pour rester,

À personne, nous n'avons montré aucune gentillesse mais leur avons donné des tombes aqueuses,

Car le dicton de notre capitaine était: "Les morts ne racontent pas d'histoires".



Nous avons couru et combattu avec de nombreux navires, frégates et paquebots aussi,

Jusqu'à ce que, enfin, un homme-guerre britannique, The Dunmow, plane en vue,

Elle a tiré un coup de feu sur nos arcs alors que nous courions avant le vent,

Et un coup de chaîne a coupé notre mât principal et nous avons pris beaucoup de retard.



Ils ont battu notre équipage aux quartiers alors qu'ils se rapprochaient,

Et bientôt à travers notre quart de pont, il y a eu une marée cramoisie,

Nous nous sommes battus jusqu'à ce qu'ils tuent notre capitaine et vingt de nos hommes,

Puis une bombe a mis le feu à notre vaisseau, nous avons dû nous rendre alors.



C'est maintenant à Newgate que nous sommes venus, attachés avec des chaînes de fer,

Pour le naufrage et le pillage de navires sur la Main d'Espagne,

Le juge qu'il nous a condamné et nous sommes condamnés à mourir.

Jeunes hommes, un avertissement de ma part prend et évite tout piratage.



Adieu à Dublin. et la fille que j'adore,

Je ne t'embrasserai plus jamais sur la joue et je ne te tiendrai plus la main,

Le whisky et la mauvaise compagnie m'ont misérable,

Jeunes hommes, un avertissement de ma part prend et évite tout piratage.



Enregistré par Killen, également MacColl et Seeger

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RG

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