The Day It Fell Apart - Fish Leslie

Just a little general hospital, in a little factory town.

The board put me in charge for mainly keeping prices down.

I hadn't touched a patient since 1982,

But the day of the explosion I remembered what to do.

At eleven in the morning, we all heard the factory blow.

The blast took out the windows, and the shrapnel fell like snow.

We could get no help from out of town for half a day or more.

We had near a thousand casualties and beds for ninety-four.



Chorus:

And can you keep your head, your backbone, or your heart?

We all found out the answer on the day it fell apart.



It was worse than combat medicine; supplies were draining fast.

Bandages ran out and antiseptics wouldn't last.

I took all the able-bodied I could catch inside the door

And made them help the doctors to go scrounge supplies and more.

I invented laws to tell them saying in such emergency

Forget your usual job and boss, your orders come from me.

I sent the cops to commandeer anything in reach:

Food or disinfectant cloth or alcohol or bleach.



The janitor ran cleanup squad, the cook maintained supplies,

The garbageman removed the ones who died before our eyes.

The clerks burned all our papers to boil water on the fire

For sterilizing instruments, as the body count went higher.

A local healthfood herbalist brought everything he had.

The painkillers were useful, and the poultices weren't bad.

A smack and cocaine pusher handed us his whole supply.

The quality was lousy, but a few more didn't die.



We did triage in the parking lot, ranked minor, major, grave.

A sad-eyed fireman gave the stroke to those we couldn't save.

Then sometime in the chaos, a director wandered in

To tell us we were breaking rules, what trouble we'd be in.

But if we'd swear the factory was not the fire's cause,

And the harm was accidental, he'd forget the broken laws.

The staff sneaked up and grabbed him, and tied him to a door.

He gave them blood transfusions 'till he hadn't any more.

(musical interlude)



When that day was over, and we'd saved all that we could,

We saw that law and politics would hang us where we stood.

We'd saved eight hundred lives but shattered all authority.

I told them, "People, save yourselves, put all the blame on me."

I took my books and instruments, and a few supplies beside,

Packed my car and ran away to open countryside.

So now I live an outlaw, condemned by righteous men,

But for all the lives I saved that day ... I'd do it all again.



And can you keep your head, your backbone, or your heart?

You'll all find out the answers on the day it falls apart

Juste un petit hôpital général, dans une petite ville industrielle.

Le conseil m'a chargé principalement de maintenir les prix bas.

Je n'avais touché aucun patient depuis 1982,

Mais le jour de l'explosion, je me suis souvenu de ce qu'il fallait faire.

A onze heures du matin, nous avons tous entendu le coup d'usine.

L'explosion a fait sortir les fenêtres et les éclats d'obus sont tombés comme de la neige.

Nous n'avons pas pu obtenir d'aide de l'extérieur de la ville pendant une demi-journée ou plus.

Nous avons eu près d'un millier de blessés et de lits pour quatre-vingt-quatorze.



Ch?ur:

Et pouvez-vous garder votre tête, votre colonne vertébrale ou votre c?ur?

Nous avons tous trouvé la réponse le jour où il s'est effondré.



C'était pire que la médecine de combat; les fournitures se vidaient rapidement.

Les bandages sont épuisés et les antiseptiques ne durent pas.

J'ai pris tous les valides que je pouvais attraper à l'intérieur de la porte

Et leur a fait aider les médecins à aller chercher des fournitures et plus encore.

J'ai inventé des lois pour leur dire dans une telle urgence

Oubliez votre travail habituel et votre patron, vos commandes viennent de moi.

J'ai envoyé les flics pour réquisitionner tout ce qui était à ma portée:

Chiffon alimentaire ou désinfectant ou alcool ou javellisant.



Le concierge dirigeait l'équipe de nettoyage, le cuisinier entretenait les fournitures,

Le garbageman a enlevé ceux qui sont morts sous nos yeux.

Les commis ont brûlé tous nos papiers pour faire bouillir de l'eau sur le feu

Pour les instruments de stérilisation, le nombre de corps augmentant.

Un herboriste local de produits de santé a apporté tout ce qu'il avait.

Les analgésiques étaient utiles et les cataplasmes n'étaient pas mauvais.

Un pousseur de smack et de cocaïne nous a remis tout son approvisionnement.

La qualité était médiocre, mais quelques autres ne sont pas mortes.



Nous avons fait le triage dans le parking, classé mineur, majeur, grave.

Un pompier aux yeux tristes a donné le coup à ceux que nous n'avons pas pu sauver.

Puis un jour dans le chaos, un réalisateur est entré \u003cbr />
Pour nous dire que nous enfreignions les règles, dans quels problèmes nous serions.

Mais si nous jurerions que l'usine n'était pas la cause de l'incendie,

Et le mal était accidentel, il oublierait les lois enfreintes.

Le personnel s'est faufilé, l'a attrapé et l'a attaché à une porte.

Il leur a donné des transfusions sanguines jusqu'à ce qu'il n'en ait plus.

(intermède musical)



À la fin de cette journée, et nous avons économisé tout ce que nous pouvions,

Nous avons vu que la loi et la politique nous pendent là où nous en étions.

Nous avions sauvé huit cents vies mais brisé toute autorité.

Je leur ai dit: "Les gens, sauvez-vous, mettez tout le blâme sur moi."

J'ai pris mes livres et mes instruments, ainsi que quelques fournitures à côté,

J'ai emballé ma voiture et je me suis enfui pour ouvrir la campagne.

Alors maintenant je vis un hors-la-loi, condamné par des hommes justes,

Mais pour toutes les vies que j'ai sauvées ce jour-là ... je recommencerais.



Et pouvez-vous garder votre tête, votre colonne vertébrale ou votre c?ur?

Vous découvrirez tous les réponses le jour où il s'effondrera