The Charity Of Night - Cockburn Bruce

Big city, Europa, July of 64.

It's 5AM. Weather blowing bitter off the Baltic.

Car slows beside him as he walks, hubcaps slow revolution, jaundiced looking

pockmarked face round and windburn, short greasy black beard.

Couple of language stabs, settle on English.

It's cold.

I give you ride?

Don't you want to kiss me?



This goes on halfway across the cobbled bridge. Driver pulls ahead gets out by

the construction fence, ambles toward a rubbing bulge in his pants. In his

jacket is the revolver. The hand is already in the pocket for warmth and

fingers slide easily around wood grips. As slow as that predator's footsteps

the gun comes out, arm straightens, scythe blade bisecting yellow forehead.

Wind. Blue metal street light. Faint twilight shining in the corners of

stones.



Chorus:

Wave on wave of life

Like the great wide oceans roll

Haunting hands of memory

Pluck silver strands of soul

The damage and the dying done, the clarity of light

gentle bows and glasses raised to the charity of night



Slow revolution, 1985, crosswise in a hammock in the hot volcanic hills.

Its 3AM, the night after the air raid.



>From the ridge she watched A37s like ugly gulls make a dozen swooping passes

over some luckless town maybe ten clicks beyond the border. In the distance the

Pacific glimmered silver. Now lascivious laughter floats on the darkness from

the police post next door. Male voices and a woman's. Little clouds of desire

painted around the edges with rum. In the muddy street a pig suddenly screams.



Chorus



Pacific glimmers silver. Moon full over shadow mansion.

West coast. Can't say when.



There is incense and heat-driven scent of flowers. A tongue slides over soft

skin, love pounds in veins, brains buzzing balls of lust. Fingers twine in wet

hair, limbs twist and roll. On the dresser wax drips in slow motion down the

long side of a black candle. Ecstatic halo of flame and pheromone.



Chorus

Grande ville, Europa, juillet 64.

Il est 5h du matin. Le temps est amer au large de la Baltique.

La voiture ralentit à côté de lui tandis qu'il marche, les enjoliveurs ralentissent la révolution, la jaunisse a l'air

visage pockmark rond et coupe-vent, courte barbe noire grasse.

Quelques coups de langue, installez-vous en anglais.

Il fait froid.

Je te fais monter?

Tu ne veux pas m'embrasser?



Cela se passe à mi-chemin à travers le pont pavé. Le conducteur avance et sort par

la clôture de construction, se dirige vers un renflement de frottement dans son pantalon. Dans son

la veste est le revolver. La main est déjà dans la poche pour la chaleur et

les doigts glissent facilement autour des poignées en bois. Aussi lent que les pas de ce prédateur

l'arme sort, le bras se redresse, la lame de faux scie le front jaune.

Vent. Lampadaire en métal bleu. Un crépuscule faible brille dans les coins de

des pierres.



Ch?ur:

Vague sur vague de vie

Comme le grand large des océans roule

Mains de mémoire obsédantes

Cueillez des brins d'âme en argent

Les dégâts et la mort faits, la clarté de la lumière

noeuds et verres doux élevés à la charité de la nuit



Révolution lente, 1985, transversalement dans un hamac dans les chaudes collines volcaniques.

Il est 3 heures du matin, la nuit après le raid aérien.



> Depuis la crête, elle a regardé les A37 comme des goélands laids faire une douzaine de passes plongeantes

sur une ville sans chance, peut-être dix clics au-delà de la frontière. Au loin, le

Pacific scintillait d'argent. Maintenant, un rire lascif flotte sur l'obscurité de

le poste de police à côté. Des voix masculines et une femme. Petits nuages ​​de désir

peint sur les bords avec du rhum. Dans la rue boueuse, un cochon crie soudain.



Ch?ur



Pacific scintille d'argent. Lune pleine sur manoir d'ombre.

Côte ouest. Je ne peux pas dire quand.



Il y a de l'encens et un parfum de fleurs chauffé. Une langue glisse sur le doux

peau, amour livres dans les veines, cerveaux bourdonnant boules de luxure. Ficelle de doigts en mouillé \u003cbr />
les cheveux, les membres se tordent et se roulent. Sur la commode, la cire dégouline au ralenti le

côté long d'une bougie noire. Halo extatique de flammes et de phéromones.



Refrain