Arrow - Van Der Graaf Generator

Stub towers in the distance, riders cross the blasted moor

against the horizon

Fickle promises of treaty, fatal harbingers of war,

futile orisons

swirl as one in this flight, this mad chase,

this surge across the marshy mud landscape

until the meaning is forgotten.

Hood masks the eager face, skin stretched and sallow,

headlong into the chilling night, as swift as any arrow.



Feet against the flagstones, fingers scrabbling at the lock,

craving protection,

'Sanctuary!' cracks a voice, half-strangled by the shock

of its rejection.

Shot the bolt in the wall, rusted the key;

now the echoes of all frightful memory

intrude in the silence.

What a crawl against the slope - dark loom the gallows

One touch to the chapel door, how swiftly comes the arrow.



"Compassion" you plead, as though they kept it in a box -

that's long since been empty.

I'd like to help you somehow, but I'm in the self-same spot:

my condition exempts me.

We are all on the run on our knees;

the sundial draws a line upon eternity

across every number.

How long the time seems, how dark the shadow,

how straight the eagle flies, how straight towards his arrow.

How long the night is - why is this passage so narrow?

How strange my body feels, impaled upon the arrow

Tours de talon au loin, les cavaliers traversent la lande dynamitée

contre l'horizon

Des promesses capricieuses de traité, annonciatrices fatales de la guerre,

oraisons futiles

tourbillonner comme un dans ce vol, cette course folle,

cette montée à travers le paysage de boue marécageuse

jusqu'à ce que le sens soit oublié.

La capuche masque le visage avide, la peau tendue et jaunâtre,

tête baissée dans la nuit glaciale, aussi rapide que n'importe quelle flèche.



Pieds contre les dalles, doigts grattant à la serrure,

envie de protection,

'Sanctuaire!' craque une voix à moitié étranglée par le choc

de son rejet.

A tiré le boulon dans le mur, rouillé la clé;

maintenant les échos de toute mémoire affreuse

s'immiscer dans le silence.

Quelle rampe contre la pente - sombre menace la potence

Une touche à la porte de la chapelle, à quelle vitesse vient la flèche.



"Compassion" vous plaidez, comme s'ils le gardaient dans une boîte -

qui est depuis longtemps vide.

Je voudrais vous aider d'une manière ou d'une autre, mais je suis au même endroit:

mon état me dispense.

Nous sommes tous en fuite à genoux;

le cadran solaire trace une ligne sur l'éternité \u003cbr />
sur chaque numéro.

Combien de temps le temps semble, comment l'ombre est sombre,

combien l'aigle vole droit, combien droit vers sa flèche.

Combien de temps la nuit est-pourquoi ce passage est-il si étroit?

Comme mon corps est étrange, empalé sur la flèche