Dark British Foes - Unknown

DARK BRITISH FOES



The dark British foes was invading our soil

And pressing our young men in slavery and war.

Young Edwin he bade his fair Mary adieu,

And they said when they parted their love would prove true.



Then this young warrior undaunted and brave,

Put on his tarpolian to fight on the waves,

To fight on the deep waters where the loud cannons roar,

To fight for his country and his dear native shore.



He had not been gone more than weeks two or three

When Mary no tidings from Edwin could hear.

She asked of each breeze as they blew gently by

If they'd brought her no tidings from her sailor boy.



To add to her misfortunes, her parents both died,

Which left her abandoned on life's flowing tide.

It seemed her misfortune that caused her to roam

From the scenes of her childhood, her juvenile home.



He had not been gone more than years two or three

Until the war ended and peace smiled again.

He landed at Hudson on the banks of the stream

Where the banks were all covered and clothed in green.



The thoughts of his Mary still ran in his mind.

He says, I will go and my Mary will find.

He sought her with love, oh, he sought her with care,

For it's long had she wandered and no one knew where.



One evening on the banks as he strayed

Where the wild songsters sang and their notes were displayed,

The sun was declining and the evening drew near,

When the voice of his Mary enchanted his ear.



He saw her declining from the shade of a tree,

Where the wild branches wove at the sigh of the breeze.

Her cheeks were growing pale, she was fairer than the sun

And those were the accents that fell from her tongue.



"Oh pity, kind heavens, and soothe my sad state,

And why was I doomed from my Edwin to part?

Oftimes in the shadow of yonder tall pine

Have I smoothed down his hair with those fingers of mine."



"Perhaps he is drowned in some ocean dark wave

Where thousands have met with their watery graves;

Perhaps he has died in some far distant land

Where his death-bed is soothed with no true lover's hand."



"l wish he was entombed in some graveyard near home;

This moment it's I to his grave I would roam.

With the finest of laurels l'd entwine round his bier,

And l'd moisten his grave with an affectionate tear."



Young Edwin no longer his feelings could contain.

He rushed from the ambush, he seized her fair hand.

"O Mary, dear Mary, the joys of my heart,

Through life until death nevermore shall we part."



From Folk Songs out of Wisconsin, Peters

Collected from Fred Bainter, Ladysmith, WI

Note: Apparantly refers to the War of 1812

@war @love @separation

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY

FOES BRITANNIQUES FONCÉES



Les sombres ennemis britanniques envahissaient notre sol

Et en poussant nos jeunes hommes dans l'esclavage et la guerre.

Jeune Edwin il a offert sa belle Mary adieu,

Et ils ont dit qu'en se séparant, leur amour se révélerait vrai.



Puis ce jeune guerrier intrépide et courageux,

Mets sa bâche pour se battre sur les vagues,

Pour combattre sur les eaux profondes où rugissent les canons bruyants,

Se battre pour son pays et sa chère côte natale.



Il n'était pas parti depuis plus de deux ou trois semaines

Quand Mary n'a pas entendu de nouvelles d'Edwin.

Elle a demandé à chaque brise comme ils soufflaient doucement par

S'ils ne lui avaient apporté aucune nouvelle de son fils marin.



Pour ajouter à ses malheurs, ses parents sont morts tous les deux,

Ce qui l'a laissée abandonnée au gré de la vie.

Il semble que son malheur l'ait fait errer

Des scènes de son enfance, sa maison juvénile.



Il n'était pas parti depuis plus de deux ou trois ans

Jusqu'à la fin de la guerre et le retour de la paix.

Il a atterri à Hudson sur les rives du ruisseau

Où les berges étaient toutes couvertes et vêtues de vert.



Les pensées de sa Mary coulaient toujours dans son esprit.

Il dit, j'irai et ma Mary trouvera.

Il l'a cherchée avec amour, oh, il l'a cherchée avec soin,

Car ça faisait longtemps qu'elle avait erré et personne ne savait où. \u003cbr />


Un soir sur les rives alors qu'il s'égarait

Où les chanteurs sauvages ont chanté et leurs notes ont été affichées,

Le soleil déclinait et la soirée approchait,

Quand la voix de sa Marie a enchanté son oreille.



Il l'a vue décliner à l'ombre d'un arbre,

Où les branches sauvages ont tissé au soupir de la brise.

Ses joues pâlissaient, elle était plus belle que le soleil

Et ce sont les accents qui sont tombés de sa langue.



"Oh dommage, bon Dieu, et apaise mon triste état,

Et pourquoi ai-je été condamné à me séparer d'Edwin?

Souvent à l'ombre de grands pins

Ai-je lissé ses cheveux avec mes doigts. "



"Peut-être qu'il est noyé dans une vague sombre de l'océan

Où des milliers de personnes ont rencontré leurs tombes aqueuses;

Peut-être qu'il est mort dans un pays lointain

Où son lit de mort est apaisé sans la main d'un véritable amant. "



"J'aurais aimé qu'il soit enterré dans un cimetière près de chez moi;

Ce moment c'est moi sur sa tombe que j'irais errer.

Avec les plus beaux lauriers que j'entrelacerais autour de sa bière,

Et je mouille sa tombe d'une larme affectueuse. "



Le jeune Edwin ne pouvait plus contenir ses sentiments.

Il se précipita de l'embuscade, il saisit sa main blonde.

"O Mary, chère Mary, les joies de mon coeur,

Nous ne nous séparerons plus de la vie jusqu'à la mort. "



Des chansons folkloriques du Wisconsin, Peters

Recueilli auprès de Fred Bainter, Ladysmith, WI

Remarque: fait apparemment référence à la guerre de 1812

@war @love @separation

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RG

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