Song For My Mother - Dean Friedman

By dean friedman



In the hollow of your arms, snuggled up all safe and warn,

You used to tell me tales of unicorns and kings.

But how could i comprehend all the things you told me then

Of your madness and your struggling?



And my mind would swim in fantasies, like a piece of driftwood in the sea.

I had no touchstone for reality. you were my reality.



Like a dark and unlit room or the far side of the moon,

Your insanity spoke emptiness and fear.

And no matter how i tried, how i questioned and i pried,

I just could not penetrate that thin veneer.



And i know you tried to comfort me, to soothe and reassure me.

But then your strength would always fail and in it's place a silken veil.



Like a dried and wrinkled prune, a deflated toy balloon,

I cam home and found you strewn across the floor.

And as they lay you on your bed i heard you say,

"if i a dead, how come it just keeps on hurting more and more?"



And you left me in the early spring. all they said was, "mommy's resting."

And how was i to know, so young, it wasn't something i had done?



So please try and understand, i will love you as i can.

I do not blame you; you're not guilty.

But still there's no way to describe the relief i finally found

Upon learning it was you, and not me, that was crazy.

Par dean friedman



Au creux de vos bras, blotti dans tous les coffre-fort et avertissez,

Tu me racontais des histoires de licornes et de rois.

Mais comment pourrais-je comprendre tout ce que tu m'as dit alors

De ta folie et de tes difficultés?



Et mon esprit nageait dans des fantasmes, comme un morceau de bois flotté dans la mer.

Je n'avais pas de pierre de touche pour la réalité. tu étais ma réalité.



Comme une pièce sombre et non éclairée ou de l'autre côté de la lune,

Votre folie a parlé de vide et de peur.

Et peu importe comment j'ai essayé, comment j'ai posé des questions et que j'ai fouillé,

Je ne pouvais tout simplement pas pénétrer ce mince placage.



Et je sais que tu as essayé de me réconforter, de me calmer et de me rassurer.

Mais alors votre force échouerait toujours et à sa place un voile de soie.



Comme un pruneau séché et froissé, un ballon jouet dégonflé,

Je suis rentré chez moi et je t'ai trouvé éparpillé sur le sol.

Et comme ils vous allongent sur votre lit, je vous ai entendu dire,

"Si je suis mort, comment se fait-il que ça continue de faire de plus en plus mal?"



Et tu m'as quitté au début du printemps. tout ce qu'ils ont dit était, "maman se repose."

Et comment pouvais-je savoir, si jeune, ce n'était pas quelque chose que j'avais fait?



Alors s'il vous plaît essayez de comprendre, je vous aimerai comme je peux.

Je ne vous blâme pas; tu n'es pas coupable.

Mais il n'y a toujours aucun moyen de décrire le soulagement que j'ai finalement trouvé \u003cbr />
En apprenant que c'était toi, et pas moi, c'était fou.