Shearing In The Bar - Unknown

SHEARING IN THE BAR

(Duke Tritton)



My shearing days are over, though I never was a gun

I could always count my twenty at the end of every run

I used the old Trade Union shears, and the blades were always

full

As I drove 'em to the knockers, and I clipped away the wool

I shore at Goorianawa and didn't get the sack

From Breeza out to Compadore, I always could go back

And though I am a truthful man, I find when in a bar

My tallies seem to double, but I never call for tar



Shearing on the western plains where the fleece is full of sand

And the clover burr and corkscrew grass, is the place to try your

hand

For the sheep are tall and wiry where they feed on the Mitchell

grass

And every second one of them is close to the cobbler class

And a pen chock full of cobblers is a shearers dream of hell

So loud and lurid are their words when they catch one on the bell

But when we're pouring down the grog, you'll have no call for tar

For a shearer never cuts 'em, when shearing in a bar



At Louth I caught the bell sheep, a wrinkled, tough wooled brute

Who never stopped his kicking till I tossed him down the chute

My wrist was aching badly, but I fought him all the way

Couldn't afford to miss a blow, I must earn my pound a day

So when I'd take a strip of skin, I'd hide it with my knee

Turn the sheep around a bit where the right bower couldn't see

Then try and catch the rousie's eye and softly whisper "tar"

But it never seems to happen when I'm shearing in the bar



I shore away the belly wool and trimmed the crutch and hocks

Opened up along the neck while the rousie swept the locks

Then smartly swung the sheep around and dumped him on his rear

Two blows to clip away the wig - I also took an ear

Then down around the shoulder and the blades were open wide

As I drove 'em on the long blow and down the whipping side

And when the fleece fell on the board, he was nearly black with

tar

But this is never mentioned when I'm shearing in a bar



Now when the seasons ended and my grandsons all come back

In their buggies and their sulkies -I was always on the track

They come and take me into town to fill me up with beer

And I sit on a corner stool and listen to them shear

There's not a bit of difference - it must make the angels weep

To hear a mob of shearers in a barroom shearing sheep

For the sheep go rattling down the race with never a call for tar

For a shearer never cuts 'em when he's shearing in a bar



Then memories come a crowding and they wipe away the years

And my hand begins to tighten and I seem to feel the shears

I want to tell them of the sheds, the sheds where I have shorn

Full fifty years and sometimes more, before these boys were born

I want to speak of yarragin, Dunlop or Wingadee

But the beer has started working and I'm wobbling at the knees

So I'd better not start shearing, I'd be bound to call for tar

Then be treated as a blackleg when I'm shearing in a bar



@Australia @work @sheep @brag

sung by Martyn Windom-Read

filename[ SHEARBAR

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SF

===DOCUMENT BOUNDARY

CISAILLEMENT DANS LE BAR

(Duke Tritton)



Mes jours de tonte sont terminés, même si je n'ai jamais été un pistolet

Je pourrais toujours compter mes vingt à la fin de chaque course

J'ai utilisé l'ancienne cisaille syndicale et les lames étaient toujours

plein

Alors que je les conduisais vers les heurtoirs, et j'ai coupé la laine

J'ai accosté à Goorianawa et je n'ai pas reçu le sac

De Breeza à Compadore, je pourrais toujours revenir en arrière

Et bien que je sois un homme honnête, je trouve que dans un bar

Mes décomptes semblent doubler, mais je n'appelle jamais de goudron



Cisaillement dans les plaines occidentales où la toison est pleine de sable

Et la bavure de trèfle et l'herbe de tire-bouchon, est l'endroit idéal pour essayer votre

main

Car les moutons sont grands et raides où ils se nourrissent du Mitchell

herbe

Et chaque seconde est proche de la classe cordonnier

Et une cale pleine de pavés est un rêve d'enfer pour les tondeurs

Tellement fort et crasseux sont leurs mots quand ils en attrapent un sur la cloche

Mais quand nous verserons le grog, vous n'aurez aucun appel au goudron

Pour un tondeur ne les coupe jamais, quand il tond dans une barre



A Louth, j'ai attrapé le mouton cloche, une brute en laine rugueuse et résistante

Qui n'a jamais arrêté ses coups de pied jusqu'à ce que je le jette dans la chute

Mon poignet me faisait mal, mais je l'ai combattu tout le long

Je ne pouvais pas me permettre de rater un coup, je dois gagner ma livre par jour

Alors quand je prenais une bande de peau, je la cachais avec mon genou

Retournez un peu les moutons là où la tonnelle de droite ne pouvait pas voir

Ensuite, essayez d'attirer l'attention de la cousine et de chuchoter doucement "goudron"

Mais ça ne semble jamais arriver quand je tond dans le bar



Je retire la laine du ventre et coupe la béquille et les jarrets

Ouvert le long du cou pendant que la rousie balayait les mèches

Puis il a balancé intelligemment le mouton et l'a jeté sur son dos

Deux coups pour couper la perruque - j'ai aussi pris une oreille

Puis en bas autour de l'épaule et les lames étaient grandes ouvertes

Alors que je les conduisais sur le long coup et que je fouettais

Et quand la toison est tombée sur la planche, il était presque noir avec

goudron

Mais cela n'est jamais mentionné quand je tond dans un bar



Maintenant, quand les saisons se sont terminées et que mes petits-fils sont tous revenus

Dans leurs buggys et leurs sulkies, j'étais toujours sur la piste

Ils viennent et m'emmènent en ville pour me remplir de bière

Et je m'assois sur un tabouret d'angle et je les écoute cisailler

Il n'y a pas un peu de différence - ça doit faire pleurer les anges

Pour entendre une foule de tondeurs dans une salle de bar tondre des moutons

Pour les moutons, allez secouer la course sans jamais demander de goudron

Pour un tondeur ne les coupe jamais quand il tond dans un bar



Puis les souvenirs se pressent et effacent les années

Et ma main commence à se resserrer et je semble sentir les cisailles

Je veux leur parler des hangars, des hangars où j'ai tondu

Cinquante ans et parfois plus, avant la naissance de ces garçons

Je veux parler de yarragin, Dunlop ou Wingadee

Mais la bière a commencé à fonctionner et je vacille aux genoux

Alors je ferais mieux de ne pas commencer à tondre, je serais obligé d'appeler du goudron

Ensuite, soyez traité comme une jambe noire lorsque je cisaille dans un bar



@Australia @work @sheep @brag

chanté par Martyn Windom-Read

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play.exe SHEARBAR

SF

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