Shanty Boy And The Farmers Son - Unknown

The Shanty Boy and the Farmer's Son



(Collected by Ellen Stekert from Ezra "Fuzzy" Barhight, Recorded

by Stekert 1958 on Songs of a New York Lumberjack, Folkways

FA2354)(Tom Gibney sings "The Irish Girl" to the same tune)



As I strolled out one evening as the sun was going down,

I strolled along quite carelessly till I come to Scranton town.

There I overheard two ladies, as slowly I passed by

One said she loved her farmer's son, the other a shanty boy.



Now the one that loved the farmer's son, these words I heard her say;

The reason why she loved him, at home with her he'd stay.

He would stay at home all winter, to the woods he would not go

And when the spring it did come in, his land he'd plow and sow.



"Now as for plowing and sowing your land," the other one did say,

"If your crops should prove a failure, your debts you could not pay.

If your crops should prove a failure, or your grain market be low,

The sheriff ofttimes would sell those crops for to pay the debts you

owe."



"Now, there's no need of going in debt when you own a good farm,

For every day you earn your bread, not work through rain or storm.

For every day you earn your bread, not work through storm or rain,

While the shanty boy works hard all day his family to maintain."



"Now I don't like this soft talk," this other one did say,

"For some of them they are so green the cows would eat for hay;

How plainly you can tell him, when he rolls into town,

You'll hear them cry out from a small boy up 'Why Dick, how are you

down?'"



"Now I do like my shanty boy that goes out in the fall,

For he is tough and rugged, and fit to stand the squall;

He gets big pay all winter and in the spring when he comes down,

His money with me he will spend free while the mossback sons have

none."



"Well here is to your shanty boy, I hope you'll pardon me

And of my ignorant mossback, I'll try now and get free;

And if ever I gain my liberty, with a shanty boy I'll go,

And I'll leave that ignorant mossback with his land to plow and

sow."



@work

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY

Le bidonville et le fils du fermier



(Recueilli par Ellen Stekert de Ezra "Fuzzy" Barhight, enregistré \u003cbr />
de Stekert 1958 sur Songs of a New York Lumberjack, Folkways

FA2354) (Tom Gibney chante "The Irish Girl" sur le même morceau)



Alors que je me promenais un soir alors que le soleil se couchait,

Je me suis promené avec insouciance jusqu'à ce que je vienne à Scranton.

Là, j'ai entendu deux dames, alors que je passais lentement

L'une a dit qu'elle aimait le fils de son fermier, l'autre un bidonville.



Maintenant celui qui aimait le fils du fermier, ces mots que je l'ai entendu dire;

La raison pour laquelle elle l'aimait, à la maison avec elle, il resterait.

Il resterait à la maison tout l'hiver, dans les bois, il n'irait pas

Et quand le printemps est arrivé, il labourait et semait sa terre.



"Maintenant, pour labourer et semer votre terre", a dit l'autre,

"Si vos récoltes devaient échouer, vous ne pourriez pas payer vos dettes.

Si vos récoltes échouent ou si votre marché céréalier est faible,

Le shérif vendrait souvent ces récoltes pour payer les dettes que vous

devoir. "



"Maintenant, il n'est pas nécessaire de s'endetter quand on possède une bonne ferme,

Pour chaque jour, vous gagnez votre pain, ne travaillez pas sous la pluie ou la tempête.

Pour chaque jour vous gagnez votre pain, ne travaillez pas pendant la tempête ou la pluie,

Alors que le bidonville travaille dur toute la journée pour maintenir sa famille. "



"Maintenant, je n'aime pas cette conversation douce", a dit cet autre,

"Pour certains, ils sont si verts que les vaches mangent du foin;

Comme vous pouvez lui dire clairement quand il arrivera en ville,

Vous les entendrez crier d'un petit garçon "Pourquoi Dick, comment vas-tu

vers le bas? ""



"Maintenant, j'aime mon bidonville qui sort à l'automne,

Car il est dur et robuste, et apte à supporter la rafale;

Il reçoit un gros salaire tout l'hiver et au printemps quand il redescend,

Son argent avec moi, il le dépensera gratuitement pendant que les fils de Mossback auront

aucun. "



"Et bien voici ton bidonville, j'espère que tu me pardonneras

Et de mon dos de mousse ignorant, je vais essayer maintenant et me libérer;

Et si jamais je gagne ma liberté, avec un bidonville j'irai,

Et je laisserai ce bossu ignorant avec sa terre pour labourer et

semer. "



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RG

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