Resisting Tyrannical Government - Propaghandi

(It's a dirty job- but somebody's gotta do it)

Why don't we all strap bombs to our chests and ride our bikes to the next G-7 picnic? It seems easier with every clock tick. But whose will would that represent? Mine? Yours? The rank-and-file's? Or better yet: the Government's? But I don't want to catalyze or synthesize the second Final Solution. I don't want to be the Steve Smith of the Revolution. Do you see the analogy? We're the Oilers. The World Bank- the Flames! And just 2 minutes remain in the 7th game of the best of 7 series! Yeah, Jesus saves! Gretzky scores! The workers slave. The rich get more. One wrong move and we risk the cup. So play The Man, not the puck. Why don't we plant a mechanic virus and erase the memory of the machines that maintain this capitalist dynasty? And yes, I recognize the irony that the very system I oppose affords me the luxury of biting the hand that feeds. But that's exactly why priviledged fucks like me should feel obliged to whine and kick and scream- until everyone has everything they need.

(C'est un sale boulot, mais quelqu'un doit le faire)

Pourquoi ne sanglons-nous pas tous nos bombes sur nos poitrines et ne montons-nous pas au prochain pique-nique du G-7? Cela semble plus facile à chaque tick d'horloge. Mais qui représenterait cela? Mien? Le tiens? Les bas de page? Ou mieux encore: celui du gouvernement? Mais je ne veux pas catalyser ou synthétiser la deuxième solution finale. Je ne veux pas être le Steve Smith de la révolution. Voyez-vous l'analogie? Nous sommes les Oilers. La Banque mondiale - les flammes! Et il ne reste que 2 minutes dans le 7e match du meilleur de la série 7! Ouais, Jésus sauve! Gretzky marque! Les travailleurs esclaves. Les riches en obtiennent plus. Un mauvais mouvement et nous risquons la coupe. Alors jouez à L'Homme, pas à la rondelle. Pourquoi ne plantons-nous pas un virus mécanique et n'effaçons-nous pas la mémoire des machines qui entretiennent cette dynastie capitaliste? Et oui, je reconnais l'ironie que le système même auquel je m'oppose me donne le luxe de mordre la main qui se nourrit. Mais c'est exactement pourquoi les putains privilégiés comme moi devraient se sentir obligés de pleurnicher, de donner des coups de pied et de crier - jusqu'à ce que chacun ait tout ce dont il a besoin.