The Words That Crawled - Mourning Beloveth

Lie in endless wait behind some cold shadow for a stream of stars that have long since died.

Their burnt cinders fall upon my heaped corpse and seep into my open pores.



With the deadened silence of my exiled mind shattered a torturous word crawled to the darkest cavern of my

being where a dim glow resonated from the eyes of my dead dream and tore a hole in my lachrymal sleep.

'Twas as if I had motioned the skies to part, and a piece of heaven to tumble past my hungry eyes when a

single lonely drop fell to the inviting earth and buried unending furrows to carve me open.



An absurd drop of pain within such a vast ocean of disease

presented a dismal glimmer of searing bliss that passedin such a blinking moment

that it might have slipped unnoticed but for the piercing cries in my heart

The dismal moments have now passed to flounder between the sea

and disease and lay waste to your bubbling pores.



The soft murmurs poured forgiving

and with envious assault laid waste my breath

In fleeting moments of joy a knock betrayed the vigilant ear and drowned in vastness.



You see through the dream, behind the vacant smile of the dead

And cut the seams, that held together my breath

Lifeless I lie, thoughts tear my mind and you fly

Your sharpened breath, echoes these halls for life

Slip the warm knife through my searing flesh

Nefarious agony slips inside my smile



As the swallow lands and bleeds, to suck the light and with it weave, dark veils of strangling gloom to cover

this silent room.

A fragment of shuddering light appeared and began to bite at the air, so thick with deceit, that all stood

still, all was weak



to echo through your soft, murmurous heart

and pierce your every word.

The dreaming veil strangles your s

Attendez sans fin derrière une ombre froide pour un flot d'étoiles qui sont mortes depuis longtemps.

Leurs cendres brûlées tombent sur mon cadavre entassé et s'infiltrent dans mes pores ouverts.



Avec le silence endormi de mon esprit exilé brisa un mot tortueux rampé vers la caverne la plus sombre de ma

être là où une faible lueur résonnait des yeux de mon rêve mort et a déchiré un trou dans mon sommeil lacrymal.

C'était comme si j'avais fait signe au ciel de se séparer, et un morceau de paradis pour tomber devant mes yeux affamés quand un

une seule goutte solitaire est tombée sur la terre invitante et a enterré des sillons sans fin pour me sculpter.



Une goutte absurde de douleur dans un si vaste océan de maladies

a présenté une lueur lugubre de félicité brûlante qui passa dans un tel moment clignotant

qu'il aurait pu passer inaperçu sans les cris perçants dans mon c?ur

Les moments lugubres sont maintenant passés à patauger entre la mer

et la maladie et jeter des déchets dans vos pores bouillonnants.



Les doux murmures coulaient indulgents

et avec un assaut envieux me gâcha le souffle

Dans de fugaces moments de joie, un coup a trahi l'oreille vigilante et s'est noyé dans l'immensité.



Tu vois à travers le rêve, derrière le sourire vide des morts

Et couper les coutures, qui retenaient mon souffle

Sans vie je mens, les pensées me déchirent l'esprit et tu voles

Votre souffle aiguisé, fait écho à ces salles pour la vie

Glisse le couteau chaud dans ma chair brûlante

Une agonie infâme se glisse dans mon sourire



Tandis que l'hirondelle atterrit et saigne, pour aspirer la lumière et avec elle tisser, des voiles sombres de ténèbres étranglantes se couvrent
cette salle silencieuse.

Un fragment de lumière tremblante est apparu et a commencé à mordre l'air, si épais de tromperie, que tous se sont levés

pourtant, tout était faible



pour résonner à travers votre c?ur doux et murmurant

et percez chacun de vos mots.

Le voile de rêve étrangle votre s