The Insolent Caul - Mourning Beloveth

In possession of a celestial object the obtrusive fatigue lay still in a corner.



The vivid, shuddering emotion let loose on the flawed pursuit returned bare.



To walk among intricate ordeals, to survive the artifical heaven that turned the marble monuments pale is

a cold effigy to the dulcet murmurings of loneliness.



The insolent caul spoke of forgetfulness and the glittering air that tends the limpid seasons. The sea of

reason clawed its way to a height and came crashing down, while the blazing thoughts lay vunerable beneath the

elusive gaze.



The distance is not a door but a silent, black wall to which we are committed. The moon is gone but my lidless

sleep remembers its traces like fingerless hands crawling on my back.



The sinister duel between waking and torture rages on as the dour hours slowly fall.

En possession d'un objet céleste, la fatigue envahissante gisait toujours dans un coin.



L'émotion vive et frémissante déchaînée sur la poursuite défectueuse est revenue nue.



Marcher parmi les épreuves complexes, survivre au paradis artificiel qui a rendu les monuments de marbre pâles est

une effigie froide pour les murmures sombres de la solitude.



L'insolent caul parlait de l'oubli et de l'air scintillant qui tend les saisons limpides. La mer de

la raison se fraya un chemin jusqu'à une hauteur et vint s'écraser, tandis que les pensées flamboyantes restaient vunerables sous le

regard insaisissable.



La distance n'est pas une porte mais un mur noir et silencieux auquel nous nous engageons. La lune est partie mais mon sans couvercle

le sommeil se souvient de ses traces comme des mains sans doigts rampant sur mon dos.



Le duel sinistre entre le réveil et la torture fait rage alors que les heures tristes tombent lentement.