The Day They Closed the Factory Down - Harry Chapin

She said, "I watch him walk down Main Street A sweet one man parade.

He'd tip his hat and just like that another score he'd made

I'd watch the girls all watch him; moths drawn to the flame.

The money showed, the laughter flowed from the way he played the game.

He played the game.



"Some said he was a rambler, some said he was a rake .

Some said he was a gambler, some said he was a fake.

But I knew him like no one else, a gentleman was he.

His days belonged to himself, his nights belonged to me.

Belonged to me.



"And they're talkin' in the town square,

In the taverns and the shops

I hear them talkin' everywhere.

Their talkin' never stops.

But all their words of wisdom won't make you go away.

The day they closed the factory down they had nothing,

Nothing left to say.



She said, "I take care of my momma now, since my father died.

I'm raising baby brother, too, the way my father tried.

His thirty years in the factory ended in that furnace blast.

But they settled up for ten bucks a week and the bitterness is past,

It did not last.



"So they're moving somewhere else now

With their cloths and fabric press. They found themselves another town where they'll make shirts for less.

And that is why he said last night he won't watch the old town die.

But I would not take what he tried to leave, when he told me 'Good bye'

Ah, it's good bye



"And they're talkin' in the town square,

In the taverns and the shops.

I hear them talkin' everywhere.

Their talkin' never stops.

But all their words of wisdom won't make you go away.



The day they closed the factory down they had nothing,

Nothing left to say"

"So they'r

Elle a dit: "Je le regarde descendre la rue Main. Un doux défilé d'un homme.

Il inclinerait son chapeau et juste comme ça un autre score qu'il avait fait

Je regardais toutes les filles le regarder; papillons attirés par la flamme.

L'argent a montré, le rire a coulé de la façon dont il a joué le jeu.

Il a joué le jeu.



"Certains ont dit qu'il était un randonneur, certains ont dit qu'il était un râteau.

Certains ont dit qu'il était un joueur, certains ont dit qu'il était un faux.

Mais je le connaissais comme personne d'autre, c'était un gentleman.

Ses jours lui appartenaient, ses nuits m'appartenaient.

M'appartenait.



"Et ils parlent sur la place de la ville,

Dans les tavernes et les magasins

Je les entends parler partout.

Leur conversation ne s'arrête jamais.

Mais toutes leurs paroles de sagesse ne vous feront pas partir.

Le jour où ils ont fermé l'usine, ils n'avaient rien,

Il ne reste plus rien à dire.



Elle a dit: "Je m'occupe de ma maman maintenant, depuis la mort de mon père.

J'élève mon petit frère aussi, comme mon père a essayé.

Ses trente ans dans l'usine se sont terminés dans cette explosion de four.

Mais ils se sont installés pour dix dollars par semaine et l'amertume est passée,

Cela n'a pas duré.



"Alors ils déménagent ailleurs

Avec leurs tissus et presse à tissu. Ils se sont retrouvés dans une autre ville où ils fabriqueront des chemises pour moins cher.

Et c'est pourquoi il a dit hier soir qu'il ne regarderait pas la mort de la vieille ville.

Mais je n'accepterais pas ce qu'il a essayé de quitter, quand il m'a dit "Au revoir"

Ah, c'est au revoir



"Et ils parlent sur la place de la ville,

Dans les tavernes et les magasins.

Je les entends parler partout.

Leur conversation ne s'arrête jamais.

Mais toutes leurs paroles de sagesse ne vous feront pas partir.



Le jour où ils ont fermé l'usine, ils n'avaient rien,

Il ne reste plus rien à dire "

"Alors ils sont