The Idiot - Stan Rogers


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Paroles de Stan Rogers - The Idiot

I often take these night shift walks when the foreman's not around.

I turn my back on the cooling stacks and make for open ground.

Far out beyond the tank farm fence where the gas flare makes no sound,

I forget the stink and I always think back to that Eastern town.



I remember back six years ago, this Western life I chose.

And every day, the news would say some factory's going to close.

Well, I could have stayed to take the Dole, but I'm not one of those.

I take nothing free, and that makes me an idiot, I suppose.



So I bid farewell to the Eastern town I never more will see;

But work I must so I eat this dust and breathe refinery.

Oh I miss the green and the woods and streams and I don't like cowboy clothes;

But I like being free and that makes me an idiot I suppose.



So come all you fine young fellows who've been beaten to the ground.

This western life's no paaradise, but it's better than lying down.

Oh, the streets aren't clean, and there's nothing green, and the hills are dirty brown,

But the government Dole will rot your soul back there in your home town.



So bid farewell to the Eastern town you never more will see.

There's self-respect and a steady cheque in this refinery.

You will miss the green and the woods and streams and the dust will fill your nose.

But you'll be free, and just like me, an idiot, I suppose.

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Video de Stan Rogers - The Idiot

Traduction de Stan Rogers - The Idiot

Je fais souvent ces promenades de nuit lorsque le contremaître n'est pas là.

Je tourne le dos aux colonnes de refroidissement et me dirige vers un terrain dégagé.

Bien au-delà de la clôture du parc de réservoirs où la torche de gaz ne fait aucun bruit,

J'oublie la puanteur et je repense toujours à cette ville de l'Est.



Je me souviens il y a six ans, cette vie occidentale que j'ai choisie.

Et chaque jour, la nouvelle disait qu'une usine allait fermer.

Eh bien, j'aurais pu rester pour prendre le Dole, mais je ne suis pas de ceux-là.

Je ne prends rien de gratuit, et cela fait de moi un idiot, je suppose.



Alors je fais mes adieux à la ville de l'Est que je ne verrai plus jamais;

Mais je dois travailler donc je mange cette poussière et respire la raffinerie.

Oh, le vert, les bois et les ruisseaux me manquent et je n'aime pas les vêtements de cow-boy;

Mais j'aime être libre et cela fait de moi un idiot je suppose.



Alors venez tous, braves jeunes gens qui ont été battus à terre.

Cette vie occidentale n'est pas paaradise, mais c'est mieux que de s'allonger.

Oh, les rues ne sont pas propres, et il n'y a rien de vert, et les collines sont d'un brun sale,

Mais le gouvernement Dole va pourrir votre âme là-bas dans votre ville natale.



Alors dites adieu à la ville de l'Est que vous ne verrez plus jamais.

Il y a du respect de soi et un contrôle régulier dans cette raffinerie.

Vous manquerez le vert et les bois et les ruisseaux et la poussière vous remplira le nez.

Mais vous serez libre, et tout comme moi, un idiot, je suppose.

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