Shards - Starkweather

R. Resmini)



Summon forth the rain wash away the filth I can blanch memories I

can't cleanse my soul Summon forth the flames, strip flesh from bone I

can't slough memories they're like second skin One cut for memory

another for hope I'm probing for answers Can only strike a nerve

Cutting cables Unloading dead weight Until nothing remains An innate

self-loathing pouring from every aperture These holes in my skin let

the darkness out Let it flow These holes in my skin let the darkness

out Let it flow There's nothing less in this world than what I think

of myself A broken man Paint a picture of a broken man Search - For a

reason Probe deep Strike a nerve The scars have faded weathered away

through the years All memories remain intact, clear Crystalline and

unpure Cutting cables, Unloading dead weight until nothing remains

These holes in my skin let the darkness out let it flow In rivulets of

blood that flow down my arms Into the drain Rivulets of blood flow

down my arms Into the drain An innate self-loathing pouring from every

aperture Never a truer feeling than pain To assure me I'm alive

R. Resmini)



Invoque la pluie, lave la saleté, je peux blanchir les souvenirs que je

Je ne peux pas nettoyer mon âme Invoque les flammes, dépouille la chair des os Je

ne peut pas effacer les souvenirs, ils sont comme une seconde peau Une coupe pour la mémoire

un autre d'espoir Je cherche des réponses Ne peut que frapper un nerf

Couper les câbles Décharger le poids mort Jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien Inné \u003cbr />
dégoût de moi-même coulant de chaque ouverture Ces trous dans ma peau laissent

les ténèbres dehors Laisse couler Ces trous dans ma peau laissent l'obscurité \u003cbr />
Out Laisse couler Il n'y a rien de moins dans ce monde que ce que je pense

de moi-même Un homme brisé Peindre une image d'un homme brisé Recherche - Pour un

raison Sonde profonde Frappez un nerf Les cicatrices ont disparu

à travers les années Tous les souvenirs restent intacts, cristallins limpides et

Câbles de coupe non purs, déchargement du poids mort jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien

Ces trous dans ma peau laissent sortir les ténèbres laissent couler Dans les ruisseaux de

sang qui coule dans mes bras Dans le drain Rivulets de flux sanguin

dans mes bras Dans le drain Un dégoût de soi inné coulant de chaque

ouverture Jamais un sentiment plus vrai que la douleur Pour m'assurer que je suis vivant