Maidstone - Squeeze

(DiffordTilbrook)

WARNING: These lyrics are unconfirmed and may be inaccurate. They represent the best attempt at deciphering the song we have yet to see.



Supermarket lights burn in the darkness

The chilly winter nights bring the scarves from the drawer

A crowd starts to gather on paving stone squares

Teeth start to chatter as the staff leave the store



And daughters meet mothers and fathers meet sons

It's too dark to walk home without anyone



The shopping precinct's closed, it's like a graveyard

The chain falls through the spokes as I unlock my bike

I cycle to the pub where I meet with my friends

And I know that it's love as she pours me my pint



And strangers meet strangers and friends share their lives

I look at her again and feel butterflies



I pull the pillow to my side

And I imagine it is her

As I slip into the night,

I know what I prefer

But I hope and I pray that one day she will say

That's it's true

I can't live without loving you



Now there's no one around I push the bike home

The rain's a lovely sound as it runs down the path

There's our lights in the road, they amber the night

And there's nobody home, so I soak in the bath

And bubbles meet bubbles as they become one

I think about the world and what I have done



I pull the pillow to my side etc



Supermarket lights burn in the darkness (repeat to fade)

(DiffordTilbrook)

AVERTISSEMENT: Ces paroles ne sont pas confirmées et peuvent être inexactes. Ils représentent la meilleure tentative de déchiffrer la chanson que nous n'avons pas encore vue.



Les lumières des supermarchés brûlent dans l'obscurité \u003cbr />
Les nuits froides d'hiver apportent les écharpes du tiroir

Une foule commence à se rassembler sur des carrés de pavé \u003cbr />
Les dents commencent à claquer lorsque le personnel quitte le magasin



Et les filles rencontrent les mères et les pères rencontrent les fils

Il fait trop sombre pour rentrer à la maison sans personne



Le quartier commerçant est fermé, c'est comme un cimetière

La chaîne tombe à travers les rayons lorsque je déverrouille mon vélo

Je vais au pub où je rencontre mes amis

Et je sais que c'est l'amour alors qu'elle me verse ma pinte



Et des inconnus rencontrent des inconnus et des amis partagent leur vie

Je la regarde à nouveau et je sens des papillons



Je tire l'oreiller sur mon côté

Et j'imagine que c'est elle

Alors que je me glisse dans la nuit,

Je sais ce que je préfère

Mais j'espère et je prie qu'un jour elle dise

C'est vrai

Je ne peux pas vivre sans t'aimer



Maintenant, il n'y a personne autour de moi, je pousse le vélo à la maison

La pluie est un joli son qui descend le long du chemin

Il y a nos lumières sur la route, elles ambrent la nuit

Et il n'y a personne à la maison, donc je me baigne dans le bain

Et les bulles rencontrent les bulles lorsqu'elles deviennent une

Je pense au monde et à ce que j'ai fait



Je tire l'oreiller sur mon côté, etc.



Les lumières des supermarchés brûlent dans l'obscurité (répéter pour s'estomper)