Big Shot - Sewing With Nancie (The Reason)

He's back, and he's a big shot, baby on a rampage kickin' in the pit.

He's on attack. He drinks a beer, kicks an ass, every day it's the same old shit.

Cause he can talk, talk, talk, he can be punk rock but when it comes to respect he can't see.

Forget what's right, fucking fight, fight, fight! It's contradicting who he wants to be.



[Chorus:]

Who do you think you are?

Acting like an asshole won't get you too far.

It's not the place or time,

I don't want to be there when you cross the line.



Fucking dick, i don't wanna think about it, cause i don't fucking care anymore.

It makes me sick, it makes you look fucking stupid when they kick your drunk ass out the door.

'Cause everything was fine 'till you crossed the line Friday night at the punk rock show.

You ruined it for everybody, you're the dickhead no one wants to know.



[Chorus]



You're the dickhead i don't want to know.



[Chorus]



Thanks to Karen (karenmiller@hotmail.com) for these lyrics

Il est de retour, et c'est un gros coup, bébé sur un coup de pied déchaîné dans la fosse.

Il est attaqué. Il boit une bière, donne un coup de pied au cul, tous les jours c'est la même vieille merde.

Parce qu'il peut parler, parler, parler, il peut être punk rock mais quand il s'agit de respect, il ne peut pas voir.

Oubliez ce qui est juste, putain de combat, de combat, de combat! Cela contredit qui il veut être.



[Ch?ur:]

Qui pensez-vous être?

Agir comme un connard ne vous mènera pas trop loin.

Ce n'est ni le lieu ni l'heure,

Je ne veux pas être là lorsque vous franchissez la ligne.



Putain de bite, je ne veux pas y penser, parce que je m'en fiche plus.

Ça me rend malade, ça te donne l'air stupide quand ils te botter le cul ivre par la porte.

Parce que tout allait bien jusqu'à ce que vous ayez franchi la ligne vendredi soir au spectacle punk rock.

Vous l'avez ruiné pour tout le monde, vous êtes le con que personne ne veut savoir.



[Ch?ur]



Tu es le connard que je ne veux pas savoir.



[Ch?ur]



Merci à Karen (karenmiller@hotmail.com) pour ces paroles