The Ballad Of Bill Hubbard - Roger Waters

[Alf Razzell:] "Two things that have haunted me most are the days when I had to collect the paybooks; and when I left Bill Hubbard in no-man's-land. I was picked up and taken into their trench. And I'd no sooner taken two or three steps down the trench when I heard a call, 'Hello Razz, I'm glad to see you. This is my second night here,' and he said 'I'm feeling bad,' and it was Bill Hubbard, one of the men we'd trained in England, one of the original battalion. I had a look at his wound; rolled him over. I could see it was probably a fatal wound. You could imagine what pain he was in, he was dripping with sweat; and after I'd gone about three shellholes, traversed that, had it been...had there been a path or a road I could have done better. He pummelled me, 'Put me down, put me down, I'd rather die, I'd rather die, put me down.' I was hoping he would faint. He said 'I can't go any further, let me die.' I said 'If I leave you here Bill you won't be found, let's have another go.' He said 'All right then.' And the same thing happened. he couldn't stand it any more, and I had to leave him there, in no-man's-land."



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[Alf Razzell:] "Deux choses qui m'ont le plus hantée sont les jours où j'ai dû récupérer les livres de paie; et quand j'ai quitté Bill Hubbard dans un no man's land. J'ai été ramassé et emmené dans leur tranchée. Et je '' J'ai à peine fait deux ou trois pas dans la tranchée quand j'ai entendu un appel: Bonjour Razz, je suis content de te voir. C'est ma deuxième nuit ici, et il a dit: Je me sens mal, et était Bill Hubbard, l'un des hommes que nous avions formés en Angleterre, l'un des bataillon d'origine. J'ai jeté un coup d'?il à sa blessure; je l'ai retourné. Je pouvais voir que c'était probablement une blessure mortelle. Vous pouvez imaginer quelle douleur il était à l'intérieur, il dégoulinait de sueur; et après avoir fait environ trois trous d'obus, je l'avais traversé, s'il y avait eu ... s'il y avait eu un chemin ou une route que j'aurais pu mieux faire. Il m'a matraqué: abattez-moi, je préfère mourir, je préfère mourir, abattez-moi. J'espérais qu'il s'évanouirait. Il a dit "Je ne peux pas aller plus loin, laisse-moi mourir" J'ai dit: "Si je te laisse ici Bill, tu ne seras pas retrouvé, essayons encore." Il a dit: "Très bien alors." Et la même chose s'est produite. Il ne pouvait plus le supporter, et j'ai dû le laisser là, dans le no man's land. "



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