Showdown (G.E./P.) - Propaghandi

We spoke our minds too clearly. We assumed fundamental rights were inherent not as pawns but humynz. I do not require a gauge for freedoms of speech cuz I never asked to be a citizen. I never have and never will pledge allegiance... Waking up each morning with confusion in my eyes. The wind is biting through to wave hello. Seeing my reflection, an exterior of lies. I hope this shaky feeling doesn't show. As if I had to tell you, there was little left to say. Stilted conversations coloured blue. You were sitting down and you got up to walk away. I tried to stay, but I was right behind you. Tension in the stair, I cannot bear so close to helpless as the songs I sing inside me ring. Final words are boring never touch I know you whispered something in my ear. I couldn't hear you. Gyrls with the greenest eyes. First time you have kissed. Our quiet softest sighs. A song for all of those who shot and missed. Welcome to this world impuded identity. Born, tagged, tattoed, pacified. Generously bestowed my rights and privileges replete. Arbitrary values ascribed. There's nothing I can tell you. There's nothing I can say. Stunted conversation, censored thought. I'm completely free at liberty guaranteed. Unless, of course, you decide I'm not. But I'll not be resigned to fall in line behind you. Tension in the air I cannot ear so what the fuck am I accomplishing? Absolutely nothing. All these words are boring. It's time for action. But you've taught me to be a pawn. It won't last for long. Those who see through the lies are quickly gagged and bound. Their ambitions realized. Tear the whole fucking thing down.

Nous avons exprimé nos opinions trop clairement. Nous avons supposé que les droits fondamentaux étaient inhérents non pas comme des pions mais comme des humynz. Je n'ai pas besoin d'une jauge pour les libertés d'expression car je n'ai jamais demandé à être citoyen. Je n'ai jamais prêté serment d'allégeance ... Je me réveille chaque matin avec de la confusion dans les yeux. Le vent mord pour saluer bonjour. En voyant mon reflet, un extérieur de mensonges. J'espère que ce sentiment tremblant ne se montre pas. Comme si je devais vous le dire, il ne restait plus grand-chose à dire. Conversations sur pilotis colorées en bleu. Vous étiez assis et vous vous êtes levé pour vous éloigner. J'ai essayé de rester, mais j'étais juste derrière toi. Tension dans l'escalier, je ne peux pas supporter si près d'impuissance que les chansons que je chante en moi résonnent. Les derniers mots sont ennuyeux, jamais toucher Je sais que tu m'as chuchoté quelque chose à l'oreille. Je ne t'entendais pas. Des girles aux yeux les plus verts. Première fois que tu t'embrasses. Nos soupirs les plus doux et silencieux. Une chanson pour tous ceux qui ont tiré et raté. Bienvenue dans ce monde empreint d'identité. Né, tagué, tatoué, pacifié. Généreusement accordé mes droits et privilèges remplis. Valeurs arbitraires attribuées. Je ne peux rien te dire. Je ne peux rien dire. Conversation rabougrie, pensée censurée. Je suis totalement libre en toute liberté garanti. À moins, bien sûr, que vous décidiez que je ne le suis pas. Mais je ne serai pas résigné à faire la queue derrière vous. Tension dans l'air, je ne peux pas entendre, alors qu'est-ce que je fais? Absolument rien. Tous ces mots sont ennuyeux. Il est temps d'agir. Mais tu m'as appris à être un pion. Cela ne durera pas longtemps. Ceux qui voient à travers les mensonges sont rapidement bâillonnés et liés. Leurs ambitions se sont réalisées. Déchirez tout ce putain de truc.