The Oak - Opera Ix

In the whirls of time,

turning their eyes

toward the shadowy monumental

symbols of the past,

following the lines up to the places,

where power and mystery reign

some people raised many stones to the sun

in their imposing silence.

A warm wind is blowing in my face

melting the ice of death.

Burnt alive victims around the cromlech

in honour of my immortality.

Crucified on The Oak.

My blood is trickling down it

no light in this church made of trees

some men in white are chanting their song

to the altar of Cernunnos.

Crucified on The Oak.

Oh you, God of Moon,

sanctify this magis ritual.

In my heart theres the power of glory,

in my eyes the shine of the sword.

Oh you, God of Death, rescue me from this fear,

I will be your messenger,

rescue me from this light.

Oh Mother Darkness, receive the son of cruelty and wisdom.

Crucified on The Oak, in honour of Esus.

The earth is imbued with the blood of my Gods enemies

and from flames a battle-cry is madly risen.

Far away the death-song is going on with the crossing of the swords.

The fog is hiding our temples made of stones

and the Gods are silently waiting for the event.

The bloody encounter between our Pagan Devotion and the only god.

Ruins around The Oak.

Corpses in oblivion.

Sealed up by the light of reason.

Oh, cursed mortals, which is the right way?

Dans les tourbillons du temps,

tournant leurs yeux

vers l'ombre monumentale

symboles du passé,

en suivant les lignes jusqu'aux endroits,

où règne le pouvoir et le mystère

certaines personnes ont levé de nombreuses pierres au soleil

dans leur silence imposant.

Un vent chaud souffle sur mon visage

faire fondre la glace de la mort.

Victimes brûlées vives autour du cromlech

en l'honneur de mon immortalité.

Crucifié sur le chêne.

Mon sang coule dessus

pas de lumière dans cette église faite d'arbres

certains hommes en blanc chantent leur chanson

à l'autel de Cernunnos.

Crucifié sur le chêne.

Oh toi, Dieu de la lune,

sanctifier ce rituel de magis.

Dans mon c?ur il y a le pouvoir de la gloire,

à mes yeux l'éclat de l'épée.

Oh toi, Dieu de la mort, sauve-moi de cette peur,

Je serai ton messager,

sauve-moi de cette lumière.

Oh Mère Ténèbres, reçois le fils de la cruauté et de la sagesse.

Crucifié sur le chêne, en l'honneur d'Esus.

La terre est imprégnée du sang des ennemis de mes dieux

et des flammes un cri de bataille est monté follement.

Au loin, le chant de la mort se poursuit avec le croisement des épées.

Le brouillard cache nos tempes en pierres

et les dieux attendent silencieusement l'événement.

La rencontre sanglante entre notre dévotion païenne et le seul dieu.

Ruines autour du chêne.

Cadavres dans l'oubli.

Scellé par la lumière de la raison.

Oh, mortels maudits, quelle est la bonne façon?