The Dreaming Road - Mary Chapin Carpenter

(Mary Chapin Carpenter)



The stars are out tonight, the breeze is warm and light

As I'm walking right back to you

Along the dreaming road, the only way to go

When I'm travelling by our code that north is true

Once upon a time these same bright stars did shine

Down the center line leading here

Nearly thirty years ago, now the map is stained and old

But on the dreaming road the coast is clear

I loved you more than life and I guess that's why I died

When you would not love me back I couldn't survive

And so the girl I was turned into someone else

Keeping to myself and from the light

I wasn't odd or strange, just quietly rearranged

Sometimes the biggest change stays out of sight



So without plot or clue I ran away from you

I was twenty-two and drunk in Amsterdam

Got robbed in Paris, France, got home on one last chance

And without a backward glance I began again

And the days just kept on rolling and I just kept on going

Without a thought of ever slowing down

I made this long road mine but it was not the dreaming kind

Too many lost souls trying to get found

But beneath this ancient sky, one night we did collide

And the hole I thought was scaled opened wide

I tried so hard again not to fall back in

But you had me then by the throat

And a strange futility came washing over me

Almost peacefully I felt the rope



A million miles goes by in the blink of an eye

And so I cannot try to slow time down

And years are made of sand slipping through my hands

Even faster than the speed of sound

The stars are out tonight, the breeze is soft and light

As I'm walking right back to you

With nothing left to hide, the tears have all been cried

And the girl who died is walking too

Down the dreaming road, where the light is always gold

The air is never cold and always fine

And north is always true and you are always you

And I'm that girl you knew once upon a time

(Charpentier Mary Chapin)



Les étoiles sont dehors ce soir, la brise est chaude et légère

Alors que je reviens vers toi

Le long de la route de rêve, le seul chemin à parcourir

Quand je voyage selon notre code, le nord est vrai

Il était une fois ces mêmes étoiles brillantes qui brillaient

En bas de la ligne médiane menant ici

Il y a près de trente ans, la carte est maintenant tachée et ancienne

Mais sur la route de rêve, la côte est dégagée

Je t'aimais plus que la vie et je suppose que c'est pour ça que je suis mort

Quand tu ne m'aimais pas, je ne pouvais pas survivre

Et donc la fille que j'ai été transformée en quelqu'un d'autre

Rester seul et à l'abri de la lumière

Je n'étais pas étrange ou étrange, juste réarrangé tranquillement

Parfois, le plus grand changement reste hors de vue



Donc, sans complot ni indice, je me suis enfui de toi

J'avais vingt-deux ans et j'étais saoul à Amsterdam

A été volé à Paris, en France, est rentré chez lui une dernière chance

Et sans un regard en arrière j'ai recommencé \u003cbr />
Et les jours ont continué à rouler et j'ai continué à continuer

Sans jamais penser à ralentir

J'ai fait cette longue route, mais ce n'était pas du genre rêveur

Trop d'âmes perdues essaient de se retrouver

Mais sous ce ciel antique, une nuit, nous nous sommes heurtés

Et le trou que je pensais était grand ouvert

J'ai encore essayé si fort de ne pas retomber en

Mais tu m'avais alors à la gorge

Et une futilité étrange est venue me submerger

Presque paisiblement j'ai senti la corde



Un million de miles passe en un clin d'?il

Et donc je ne peux pas essayer de ralentir le temps

Et des années sont faites de sable qui glisse entre mes mains

Encore plus rapide que la vitesse du son

Les étoiles sont de sortie ce soir, la brise est douce et légère

Alors que je reviens vers toi

Avec plus rien à cacher, les larmes ont toutes pleuré \u003cbr />
Et la fille qui est morte marche aussi

Sur la route des rêves, où la lumière est toujours dorée

L'air n'est jamais froid et toujours bien

Et le nord est toujours vrai et tu es toujours toi

Et je suis cette fille que tu connaissais il était une fois