People Who Read People Magazine - Kinky Friedman

(Kinky Friedman)



Well, I'm here to say I got turned away from Studio 54

Back to neon lights and lonely nights and saw-dust on the floor

And if she ever loved me, she don't love me anymore,

And if anyone should ask me, here's who I'm singing for:



For the people who read People Magazine,

For the soap opera lovers, for the home-town bowling team,

For everybody everywhere who's ever lost a dream,

For the people who read people who read People Magazine.



Now if you're too New York for Texas, too Texas for L.A.

You been chasing trends like rainbow ends but you're always just a song away

And if the White House wouldn't have ya, play in every little honky-tonk and bar

The good Lord made the Heavens, ah but He never made a star.



No, its the people who read People Magazine,

It's the soap opera lovers, its the home-town bowling team,

It's everybody everywhere who's ever lost a dream,

For the people who read people who read People Magazine.



And to tell you the truth this telephone booth gets lonesome in the rain,

But son, I'm 21 in Nashville and I'm 43 in Maine.

And when your mama gets home, would you tell her I phoned, it'd take a life-time to explain

That I'm a country-picker with a bumper-sticker that says: “God Bless John Wayne”.



And bless the people who read People Magazine,

Bless the soap opera lovers, bless the home-town bowling team,

Bless everybody everywhere who's ever lost a dream,

For the people who read people who read People Magazine.

Bless the people who read people who read People Magazine.

(Kinky Friedman)



Eh bien, je suis ici pour dire que je me suis détourné du Studio 54

Retour aux néons et nuits solitaires et sciure au sol

Et si jamais elle m'aimait, elle ne m'aime plus,

Et si quelqu'un me demande, voici pour qui je chante:



Pour les personnes qui lisent People Magazine,

Pour les amateurs de feuilleton, pour l'équipe de bowling de la ville natale,

Pour tous ceux qui ont perdu un rêve partout dans le monde,

Pour les gens qui lisent les gens qui lisent People Magazine.



Maintenant, si vous êtes trop New York pour le Texas, trop Texas pour L.A.

Vous avez poursuivi des tendances comme les extrémités arc-en-ciel, mais vous n'êtes toujours qu'à une chanson

Et si la Maison Blanche ne t'avait pas, joue dans chaque petit honky-tonk et bar

Le bon Dieu a fait les cieux, ah mais il n'a jamais fait d'étoile.



Non, ce sont les gens qui ont lu People Magazine,

Ce sont les amateurs de feuilleton, c'est l'équipe de bowling de la ville natale,

C'est tout le monde partout qui a déjà perdu un rêve,

Pour les gens qui lisent les gens qui lisent People Magazine.



Et pour vous dire la vérité, cette cabine téléphonique devient solitaire sous la pluie,

Mais mon fils, j'ai 21 ans à Nashville et j'ai 43 ans dans le Maine.

Et quand votre maman rentre à la maison, pourriez-vous lui dire que j'ai téléphoné, il faudrait une vie pour expliquer

Que je suis un sélectionneur de pays avec un autocollant de pare-chocs qui dit: "God Bless John Wayne".



Et bénissez les gens qui lisent People Magazine,

Bénissez les amateurs de feuilleton, bénissez l'équipe de bowling de la ville natale,

Bénissez tout le monde partout qui a déjà perdu un rêve,

Pour les gens qui lisent les gens qui lisent People Magazine.

Bénissez les gens qui lisent les gens qui lisent People Magazine.