Painters - Jewel

Eighty years an old lady now sitting on the front porch

Watching the clouds roll by they remind her of her lover how he left

her

And of times long ago when she used color carelessly painted his

portrait

A thousand times or maybe just his smile

And she and her canvas would follow him wherever he would go

'Cause they were painters and they had painting themselves a lovely

world

Oil streaked daisies covered the living room wall

He put water colored roses in her hair

He said, "Love, I love you, I want to give you the mountains, the

sunshine, the sunset too"

I just want to give you a world as beautiful as you are to me

'Cause they were painters, and they had painting themselves, a lovely

world

So they sat down and made a drawing of their love, they made it an art

to live by

They painted every, passion every home, created every beautiful child

In the winter they were weavers of warmth, in the summer they were

carpenters of love

They thought blue prints were too sad so they made them yellow

'Cause they were painters, and they had painting themselves, a lovely

world

Until one day the rain fell as thick as black oil

And in her heart she knew something was wrong

She went running through the orchard screaming

'No God, don't take him from me!'

But by the time she got there, she feared he already had gone

She got to where he lay, water colored roses in his hands for her

She threw them down screaming, 'Damn you man, don't leave me

With nothing left behind but these cold paintings, these cold

portraits

to remind me!'

He said, 'Love I only leave, but only a little, try to understand

I put my soul in this life we've created with these four hands

Love, I leave, but only a little, this world holds me still

My body may die now, but these paintings are real'

So many seasons came and so many seasons went

And many times she saw her love's face watering the flowers

Talking to the trees and singing to his children

And when the wind blew, she knew he was listening

And how he seemed to laugh along, an how he seemed to hold her when

she was crying

'Cause they were painters, and they had painting themselves, a lovely

world

Eighty years, an old lady now, sitting on the front porch

Watching the clouds roll by, they remind her of her lover, how he left

her

And of times long ago when she used color carelessly, painted his

portrait

A thousand times - or maybe just his smile -

And she and her canvas would follow him wherever he would go

Yes, she and her canvas still follow

'Cause they were painters, and they had painting themselves, a lovely

world

Quatre-vingt ans, une vieille dame maintenant assise sur le porche avant

En regardant les nuages ​​passer, ils lui rappellent à son amant comment il est parti

son

Et il y a longtemps, quand elle utilisait négligemment la couleur de son

portrait

Mille fois ou peut-être juste son sourire

Et elle et sa toile le suivraient partout où il irait

Parce qu'ils étaient des peintres et ils s'étaient peints une belle

monde

Des marguerites striées d'huile couvraient le mur du salon

Il a mis des roses colorées à l'eau dans ses cheveux

Il a dit: "Amour, je t'aime, je veux te donner les montagnes,

le soleil, le coucher du soleil aussi "

Je veux juste te donner un monde aussi beau que toi pour moi

Parce qu'ils étaient peintres, et ils avaient eux-mêmes peint, une belle

monde

Alors ils se sont assis et ont fait un dessin de leur amour, ils en ont fait un art

vivre par

Ils ont peint chaque, passion chaque maison, créé chaque bel enfant

En hiver, ils étaient tisserands de chaleur, en été, ils étaient

charpentiers de l'amour

Ils pensaient que les imprimés bleus étaient trop tristes, alors ils les ont rendus jaunes

Parce qu'ils étaient peintres, et ils avaient eux-mêmes peint, une belle

monde

Jusqu'au jour où la pluie est tombée aussi épaisse que l'huile noire

Et dans son c?ur, elle savait que quelque chose n'allait pas

Elle a couru dans le verger en hurlant

'Non Dieu, ne me le prends pas!'

Mais au moment où elle est arrivée, elle avait craint qu'il ne soit déjà parti

Elle est arrivée là où il était couché, des roses aquatiques dans ses mains pour elle

Elle les a jetés en criant: 'Merde, mec, ne me laisse pas

Avec rien d'autre que ces peintures froides, ces froides

portraits

pour me le rappeler!

Il a dit: `` J'adore, je ne pars que, mais seulement un peu, essayez de comprendre

Je mets mon âme dans cette vie que nous avons créée avec ces quatre mains

Amour, je pars, mais seulement un peu, ce monde me tient encore

Mon corps peut mourir maintenant, mais ces peintures sont réelles '

Tant de saisons sont arrivées et tant de saisons sont passées

Et plusieurs fois, elle a vu le visage de son amour arroser les fleurs

Parler aux arbres et chanter à ses enfants

Et quand le vent a soufflé, elle savait qu'il écoutait

Et comment il semblait rire, et comment il semblait la tenir quand

elle pleurait

Parce qu'ils étaient peintres, et ils avaient eux-mêmes peint, une belle

monde

Quatre-vingts ans, une vieille dame maintenant, assise sur le porche avant

En regardant les nuages ​​passer, ils lui rappellent son amant, comment il est parti

son

Et il y a longtemps, quand elle utilisait la couleur négligemment, peignait son

portrait

Mille fois - ou peut-être juste son sourire -

Et elle et sa toile le suivraient partout où il irait

Oui, elle et sa toile suivent toujours

Parce qu'ils étaient peintres, et ils avaient eux-mêmes peint, une belle

monde