You Say That The Battle Is Over - JOHN DENVER

(Mallet)

And you say that the battle is over, and you say that the war is all done.

Go tell it to those with the wind in their nose who run from the sound of the gun.

And write it on the sides of the great whaling-ships,

or on ice floes where conscience is tossed.

With the wild in their eyes, it is they who must die,

and it's we who must measure the loss.



And you say that the battle is over, and finally the world is at peace.

You mean no one is dying, and mothers don't weep, or it's not in the papers, at least.

There are those who would deal in the darkness of life,

there are those who would tear down the sun.

And most men are ruthless, but some will still weep

when the gifts we were given are gone.



Now the blame cannot fall on the heads of a few, it's become such a part of the race.

It's eternally tragic when that which is magic be killed at the end of the glorious chase.

From young seals to great whales, from waters to wood,

they will fall just like weeds in the wind.

With fur coats and perfumes and trophies on walls, what a hell of a race to call men.



And you say that the battle is over, and you say that the war is all done.

Go tell it to those with the wind in their nose who run from the sound of the gun.

And write it on the sides of the great whaling-ships,

or on ice floes where conscience is tossed.

With the wild in their eyes, it is they who must die,

and it's we who must measure the loss.

With the wild in their eyes, it is they who must die,

and it's we who must measure the loss.

(Maillet)

Et vous dites que la bataille est terminée, et vous dites que la guerre est finie.

Allez le dire à ceux qui ont le vent dans le nez et qui fuient au son du pistolet.

Et l'écrire sur les côtés des grands baleiniers,

ou sur des plaques de glace où la conscience est ébranlée.

Avec la nature sauvage dans les yeux, ce sont eux qui doivent mourir,

et c'est nous qui devons mesurer la perte.



Et vous dites que la bataille est terminée et que le monde est enfin en paix.

Tu veux dire que personne ne meurt, et les mères ne pleurent pas, ou ce n'est pas dans les journaux, au moins.

Il y a ceux qui auraient affaire dans l'obscurité de la vie,

il y a ceux qui voudraient abattre le soleil.

Et la plupart des hommes sont impitoyables, mais certains pleureront encore

quand les cadeaux qu'on nous a donnés sont partis.



Maintenant, le blâme ne peut pas tomber sur la tête de quelques-uns, il est devenu une telle partie de la course.

C'est éternellement tragique quand ce qui est magique est tué à la fin de la glorieuse poursuite.

Des jeunes phoques aux grandes baleines, des eaux au bois,

ils tomberont comme des mauvaises herbes dans le vent.

Avec des manteaux de fourrure et des parfums et des trophées sur les murs, quelle course d'enfer pour appeler les hommes.



Et vous dites que la bataille est terminée, et vous dites que la guerre est finie.

Allez le dire à ceux qui ont le vent dans le nez et qui fuient au son du pistolet.

Et l'écrire sur les côtés des grands baleiniers,

ou sur des plaques de glace où la conscience est ébranlée.

Avec la nature sauvage dans les yeux, ce sont eux qui doivent mourir,

et c'est nous qui devons mesurer la perte.

Avec la nature sauvage dans les yeux, ce sont eux qui doivent mourir,

et c'est nous qui devons mesurer la perte.