All Of My Memories - JOHN DENVER

All of my memories lay in the lights of the highway.

All of my nights in old motels and sleeping alone.

All of my days on the road with no one beside me.

All of my dreams of a place that I can call home.

Somewhere in the shade, near the sound of a sweet singing river.

Somewhere in the sun where the mountains make love to the sky.

Somewhere to build me a faith, a farm and a family.

Somewhere to grow older, and somewhere a reason to try.



'Cause I'm tired of big cities, and so tired of big city ways.

Scratching off sunsets, and walking around in the maze.

Some sweet taxi dancer trying to save me from being alone.

Ah, it's much worse than lonely, there is no place that I really belong, I want to be home.

I'm leaving this city life, and by night I'm flying away.

I'm leaving tomorrow and all of the old yesterdays.

I'm leaving the trash cans, the bright lights, and telephone lines.

I'm leaving my sorrows and all of my memories behind to see what I find.



Somewhere in the shade, near the sound of a sweet singing river.

Somewhere in the sun where the mountains make love to the sky.

Somewhere to build me a faith, a farm and a family.

Somewhere to grow older, and somewhere to lay down and die.

Tous mes souvenirs se trouvent dans les lumières de l'autoroute.

Toutes mes nuits dans de vieux motels et dormir seul.

Tous mes jours sur la route sans personne à côté de moi.

Tous mes rêves d'un endroit que je peux appeler chez moi.

Quelque part à l'ombre, près du son d'une douce rivière chantante.

Quelque part au soleil où les montagnes font l'amour au ciel.

Quelque part pour me construire une foi, une ferme et une famille.

Quelque part pour vieillir, et quelque part une raison d'essayer.



Parce que je suis fatigué des grandes villes et tellement fatigué des grandes villes.

Gratter les couchers de soleil et se promener dans le labyrinthe.

Une douce danseuse de taxi essayant de me sauver d'être seule.

Ah, c'est bien pire que solitaire, il n'y a aucun endroit auquel j'appartienne vraiment, je veux être à la maison.

Je quitte cette ville et la nuit je m'envole.

Je pars demain et tous les anciens hier.

Je laisse les poubelles, les lumières vives et les lignes téléphoniques.

Je laisse mes chagrins et tous mes souvenirs derrière pour voir ce que je trouve.



Quelque part à l'ombre, près du son d'une douce rivière chantante.

Quelque part au soleil où les montagnes font l'amour au ciel.

Quelque part pour me construire une foi, une ferme et une famille.

Un endroit pour vieillir et un endroit pour se coucher et mourir.