Understanding Nothing 425 - Cockburn Bruce


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Paroles de Cockburn Bruce - Understanding Nothing 425

high above valley

above deep shade coloured with the calls of cuckoos,

the ring of coppersmith's hammer...

high in the hiss of the wind,

wind filled with spirits

and bright with the jangle of horse bells...

after a crisp night crammed with stars

it's morning.



Over the scratched-up soil, scorched-earth wasted,

long shadows lead women bearing water.

I watch the sway of skirts,

think of moist spice forests --



too many pictures

swirling

vertigo

momentum of civilization

threw me too far over this time-simple landscape

and i hang here

in this mountain light

a balloon blown full of darkness --

got to let this ballast go

got to float upward

till i burst



weavers' fingers flying on the loom

patterns shift too fast to be discerned

all these years of thinking

ended up like this

in front of all this beauty

understanding nothing.



rhododendrons in bloom, sharp against spring snow

remind me of another time

in japanese temple --

there was a single

orange blossom

at the wrong time of year --

seemed like a sign --

when i looked again

it was gone.



weavers' fingers flying on the loom

patterns shift too fast to be discerned

all these years of thinking

ended up like this

in front of all this beauty

understanding nothing.



(Toronto, October 26, 1987

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Video de Cockburn Bruce - Understanding Nothing 425

Traduction de Cockburn Bruce - Understanding Nothing 425

au-dessus de la vallée

au-dessus de l'ombre profonde colorée des cris des coucous,

l'anneau du marteau de chaudronnier ...

haut dans le sifflement du vent,

vent rempli d'esprits

et lumineux avec le bruit des cloches de cheval ...

après une nuit fraîche remplie d'étoiles

c'est le matin.



Au-dessus du sol gratté, de la terre brûlée gaspillée,

de longues ombres conduisent les femmes à porter de l'eau.

Je regarde le balancement des jupes,

pensez aux forêts humides d'épices -



trop de photos

tourbillonnant

vertige

élan de civilisation

m'a jeté trop loin dans ce paysage simple comme du temps

et je m'accroche ici

dans cette lumière montagnarde

un ballon plein d'obscurité -

dois laisser partir ce ballast

dois flotter vers le haut

jusqu'à ce que j'éclate



doigts de tisserands volant sur le métier à tisser

les motifs changent trop vite pour être discernés

toutes ces années de réflexion

fini comme ça

devant toute cette beauté \u003cbr />
ne rien comprendre.



rhododendrons en fleurs, tranchants contre la neige de printemps

rappelle moi une autre fois

dans un temple japonais -

il y avait un seul

fleur d'oranger

au mauvais moment de l'année -

semblait être un signe -

quand j'ai regardé à nouveau

c'était parti.



doigts de tisserands volant sur le métier à tisser

les motifs changent trop vite pour être discernés

toutes ces années de réflexion

fini comme ça

devant toute cette beauté \u003cbr />
ne rien comprendre.



(Toronto, 26 octobre 1987

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