Enter The Worms - Cathedral

Lehan/Dorrian/Bianco)



Adorned daggers, ruby hilted swords, unfailing crucixes, striking mortal cords, huge violent serpents in volumes rolled, all holy poisons poured in cups of gold. Ooh these instruments so blessed and old, here lay death¹s sceptre - truth untold without mercy or



Chorus :

Love, forgiveness - exile me, blades of goodness set me free, madness my destiny, alone forever exile me



Sharp swords, bright lightnings set brave souls free, past God¹s blind eyes through infinity, of all these vessels transformed to clay, rich ashes blown to dust - swept away ! Now take me steel to the gift of skies, deliver me from weakness from this flesh that rides. Without pity or



Chorus

Ooh to think how pleasant your touch would be, in that all my lovely limbs would fall away, and drop to nothing in their soft decay. Unto my frail heart, the worms shall find a door, enter the weary pulp - into the core ! As all of my flesh lay soft on the floor, released this soul from me, forevermore ! Into the loud tide screaming silent words, out of this dreary world in screeching awe, without earthly :



Chorus

Lehan / Dorrian / Bianco)



Poignards ornés, épées à rubis, crucixes infaillibles, cordes mortelles frappantes, énormes serpents violents en volumes roulés, tous les poisons sacrés versés dans des coupes d'or. Ooh ces instruments si bénis et vieux, ici gisait le sceptre de la mort - une vérité incalculable sans pitié ou



Ch?ur:

Amour, pardon - exilez-moi, les lames de la bonté me libèrent, la folie mon destin, seul à jamais m'exilera



Des épées tranchantes, des éclairs brillants libèrent les âmes courageuses, passé les yeux aveugles de Dieu à travers l'infini, de tous ces vaisseaux transformés en argile, des cendres riches soufflées en poussière - balayées! Emmène-moi maintenant l'acier au don du ciel, délivre-moi de la faiblesse de cette chair qui monte. Sans pitié ni



Ch?ur

Ooh de penser à quel point votre toucher serait agréable, dans la mesure où tous mes membres adorables tomberaient et tomberaient à néant dans leur douce décomposition. Jusqu'à mon c?ur fragile, les vers trouveront une porte, entreront dans la pulpe fatiguée - dans le c?ur! Alors que toute ma chair gisait sur le sol, j'ai libéré cette âme de moi, pour toujours! Dans la marée forte criant des mots silencieux, hors de ce monde morne en crainte hurlante, sans terrestres:



Refrain