Jaded Entity - Cathedral

Jennings/Dorrian/Bianco)



Here, gibbeering alone... oh the earth and the heavens, they so tire me, tomorrow¹s dreams encased in a velvet sanctuary. The crumbled throne of worldly gain, is glory forgotten, and now just nothing remains.



Chorus :



We¹ve come too far, we are so close, one soul, inside, one forever weeping. As the vain morning dawns all life fades away, you can take me now, beyond the violet veil, and whatever flames the night in these deeds I¹ve done. In fate¹s control, at last my time has come.



Chorus



Death is death, the little host that squirms, smell the dark - the coffin¹s closed, and I so soft - ooh so soft, no movement, and no breath, no ears, no nose- no eyes. Death is death, in life¹s sepulchre - no sight, no sound, no cry, and always... always... death is death, yeah ! (Alive again) Eeeaaergh - damp skin in greying sheets, decaying bed absorbing me, bleached white ceiling above - dehydrating visions of love. Vituality slides back down the walls, saturating the velvet floor, numbness writhes in all I adore, wasting here, can¹t see the door

Jennings / Dorrian / Bianco)



Ici, gibbeering seul ... oh la terre et le ciel, ils me fatiguent tellement, les rêves de demain enfermés dans un sanctuaire de velours. Le trône émietté du gain mondain, la gloire est oubliée, et maintenant il ne reste plus rien.



Ch?ur:



Nous sommes venus trop loin, nous sommes si proches, une âme, à l'intérieur, une qui pleure pour toujours. Alors que le vain matin se lève, toute la vie s'estompe, vous pouvez maintenant m'emmener, au-delà du voile violet et de tout ce que la nuit enflamme dans ces actes que j'ai faits. Dans le contrôle du destin, mon heure est enfin venue.



Ch?ur



La mort est la mort, le petit hôte qui se tortille, sent le noir - le cercueil fermé, et moi si doux - ooh si doux, pas de mouvement, et pas de souffle, pas d'oreilles, pas de nez - pas d'yeux. La mort est la mort, dans le sépulcre de la vie - pas de vue, pas de son, pas de cri, et toujours ... toujours ... la mort est la mort, oui! (Encore vivant) Eeeaaergh - peau humide dans des draps grisonnants, lit en décomposition qui m'absorbe, plafond blanc blanchi au-dessus - visions déshydratantes de l'amour. La vitalité glisse le long des murs, saturant le sol de velours, l'engourdissement se tord dans tout ce que j'adore, gaspiller ici, ne peut pas voir la porte