City Lights - Bill Anderson

City Lights



© '58 TNT Music



The bright array of city lights as far as I can see

The great white way shines through the night for lonely guys like me

The cabarets and honky tonks their flashing signs invite

A broken heart to lose itself in the glow of city lights



(Lights that say forget her name) in a glass of cherry wine

(Lights that offer other girls) for empty hearts like mine

They paint a pretty picture of a world that's gay and bright

But it's just a mask for loneliness behind those city lights



The world was dark and God made stars to brighten up the night

Did the God who put those stars above make those city lights

Did he make a place for men to cry when things don't turn out right

Are we just supposed to run and hide behind those city lights



(Lights that say forget her love) in a different atmosphere

(Lights that lure are nothing) but a masquerade for tears

They paint a pretty picture but my arms can't hold them tight

And I just can't say I love you to a street of city lights

Lumières de la ville



58 TNT Music



Le tableau lumineux des lumières de la ville à perte de vue

La grande voie blanche brille à travers la nuit pour les gars solitaires comme moi

Les cabarets et honky tonks leurs signes clignotants invitent

Un c?ur brisé pour se perdre dans la lueur des lumières de la ville



(Lumières qui disent oublier son nom) dans un verre de vin de cerise

(Lumières qui offrent d'autres filles) pour des c?urs vides comme le mien

Ils peignent une jolie image d'un monde gai et lumineux

Mais c'est juste un masque pour la solitude derrière ces lumières de la ville



Le monde était sombre et Dieu a fait des étoiles pour égayer la nuit

Est-ce que le Dieu qui a mis ces étoiles au-dessus a fait ces lumières de la ville

At-il fait un endroit où les hommes peuvent pleurer quand les choses ne tournent pas bien

Sommes-nous juste censés courir et nous cacher derrière ces lumières de la ville



(Lumières qui disent oublier son amour) dans une atmosphère différente

(Les lumières qui attirent ne sont rien) mais une mascarade pour les larmes

Ils peignent un joli tableau mais mes bras ne peuvent pas les tenir fermement

Et je ne peux pas dire que je t'aime dans une rue de lumières de la ville