BIG RIVER - Wedding Parties Anything

Steel)

He came up from the country looking for a job of work,

He came from a town that died a slow hard death,

And when the train pulled into Spencer Street, he was fast asleep.

He opened one eye and he took a long deep breath.

On the first day he was dazed by the noise and by the bustle,

He sat in the square, and tried so hard to think.

Found a cheap hotel and booked himself a room all damp and shabby

He sat in the bar, he bought himself a drink.

He sang: "Flow river flow, flow to the sea,

Flow on big river, bring my dreams back home to me."

He rose early on the second day,

And watched the dirty struggle of the dawn

To rise above the smoke and haze.

And armed with a map he made his way from factory to foundry,

Joined the queues of the unskilled labourers.

Then an old man came, shook his hand,

Sat right there beside him,

And he heard the tale of rural poverty.

Shook his head, and with a tear he said,

"All that you have told me

Is like having my own story told to me."

He sang: "Flow river flow, flow to the sea,

Flow on big river, bring my dreams back home to me."

Drinking harder every night,

He made himself keep searching

Till he found he could not rise to greet the day.

And he lay behind a vale of tears on the Yarra bank that morning,

And he wondered how the hell things got this way.

Late that night he stumbled from an inner city bar,

Barely conscious down the alley he did sway.

And they beat him, they sank the boot in,

And they took his last four dollars,

Left him dying in the dawn, it was Saturday...

He sang: "Flow river flow, flow to the sea,

Flow on big river, bring my dreams back home to me."

Flow river flow, flow to the sea,

Flow on big river, bring my dreams back home to me.

Flow river flow, oh flow on to the sea,

Flow on big river, bring my dreams, bring them home to me

Acier)

Il est venu du pays à la recherche d'un emploi,

Il est venu d'une ville qui est morte d'une mort lente et dure,

Et quand le train est entré dans Spencer Street, il dormait profondément.

Il ouvrit un ?il et prit une longue et profonde inspiration.

Le premier jour, il a été étourdi par le bruit et l'agitation,

Il s'assit sur la place et essaya si fort de réfléchir.

J'ai trouvé un hôtel bon marché et je me suis réservé une chambre toute humide et minable

Il s'est assis dans le bar, il s'est acheté un verre.

Il a chanté: "Débit d'écoulement fluvial, écoulement vers la mer,

Déplacez-vous sur une grande rivière, ramenez mes rêves chez moi. "

Il s'est levé tôt le deuxième jour,

Et regardé la sale lutte de l'aube

S'élever au-dessus de la fumée et de la brume.

Et armé d'une carte, il a fait son chemin de l'usine à la fonderie,

Rejoint les files d'attente des ouvriers non qualifiés.

Puis un vieil homme est venu, lui a serré la main,

Assis juste à côté de lui,

Et il a entendu l'histoire de la pauvreté rurale.

Il secoua la tête et, avec une larme, il dit:

"Tout ce que tu m'as dit

C'est comme me raconter ma propre histoire. "

Il a chanté: "Débit d'écoulement fluvial, écoulement vers la mer,

Déplacez-vous sur une grande rivière, ramenez mes rêves chez moi. "

Boire plus fort tous les soirs,

Il s'est fait continuer à chercher

Jusqu'à ce qu'il découvre qu'il ne pouvait pas se lever pour saluer la journée.

Et il gisait derrière une vallée de larmes sur la rive de Yarra ce matin-là,

Et il s'est demandé comment diable les choses avaient pu arriver ainsi.

Tard dans la nuit, il est tombé d'un bar du centre-ville,

À peine conscient dans l'allée, il se balançait.

Et ils l'ont battu, ils ont coulé la botte,

Et ils ont pris ses quatre derniers dollars,

Le laissant mourir à l'aube, c'était samedi ...

Il a chanté: "Débit d'écoulement fluvial, écoulement vers la mer,

Déplacez-vous sur une grande rivière, ramenez mes rêves chez moi. "

Débit d'écoulement fluvial, écoulement vers la mer,

Déplacez-vous sur une grande rivière, ramenez mes rêves chez moi.

Écoule l'écoulement de la rivière, oh écoule sur la mer,

Écoule sur une grande rivière, ramène mes rêves, ramène-les chez moi