I Wanna Go Back To Dixie - Tom Lehrer

Well, what I like to do on formal occasions like this is to take some of the various types of songs that we all know and presumably love, and, as it were, to kick them when they're down. I find that if you take the various popular song forms to their logical extremes, you can arrive at almost anything from the ridiculous to the obscene, or -- as they say in New York -- sophisticated. I'd like to illustrate with several hundred examples for you this evening, first of all, the southern type song about the wonders of the American south. But it's always seemed to me that most of these songs really don't go far enough. The following song, on the other hand, goes too far. It's called I Wanna Go Back To Dixie.



I wanna go back to Dixie,

Take me back to dear ol' Dixie,

That's the only li'l ol' place for li'l ol' me.

Ol' times there are not forgotten,

Whuppin' slaves and sellin' cotton,

And waitin' for the Robert E. Lee.

(It was never there on time.)

I'll go back to the Swanee,

Where pellagra makes you scrawny,

And the Honeysuckle clutters up the vine

I really am a-fixin'

To go home and start a-mixin'

Down below that Mason-Dixon line.



Oh, poll tax, how I love ya, how I love ya,

My dear old poll tax.



Won'tcha come with me to Alabammy,

Back to the arms of my dear ol' Mammy,

Her cookin's lousy and her hands are clammy,

But what the hell, it's home.

Yes, for paradise the Southland is my nominee.

Jes' give me a ham hock and a grit of hominy.



I wanna go back to Dixie

I wanna be a dixie pixie

And eat cornpone 'til it's comin' outta my ears

I wanna talk with Southern gentlemen

And put my white sheet on again,

I ain't seen one good lynchin' in

Eh bien, ce que j'aime faire lors d'occasions formelles comme celle-ci, c'est de prendre certains des différents types de chansons que nous connaissons tous et que nous aimons probablement, et, pour ainsi dire, de les botter quand ils sont en panne. Je trouve que si vous prenez les diverses formes de chansons populaires à leurs extrêmes logiques, vous pouvez arriver à presque tout, du ridicule à l'obscène, ou - comme on dit à New York - sophistiqué. Je voudrais illustrer avec plusieurs centaines d'exemples pour vous ce soir, tout d'abord, la chanson de type méridional sur les merveilles du sud américain. Mais il m'a toujours semblé que la plupart de ces chansons ne vont pas assez loin. La chanson suivante, en revanche, va trop loin. Ça s'appelle I Wanna Go Back To Dixie.



Je veux retourner à Dixie,

Ramène-moi à mon cher vieux Dixie,

C'est le seul endroit li'l ol 'pour moi li'l ol.

Ol 'fois il n'y a pas oublié,

Whuppin 'slaves and sellin' cotton,

Et j'attends le Robert E. Lee.

(Il n'a jamais été là à l'heure.)

Je reviens au Swanee,

Où pellagra vous rend maigre,

Et le chèvrefeuille encombre la vigne

Je suis vraiment en train de réparer

Pour rentrer à la maison et commencer un mixage

En dessous de cette ligne Mason-Dixon.



Oh, la taxe de vote, comment je t'aime, comment je t'aime,

Ma chère vieille taxe de vote.



Je ne viendrai pas avec moi à Alabammy,

Retour dans les bras de ma chère vieille maman,

La moche de son cuisinier et ses mains sont moites,

Mais bon sang, c'est chez moi.

Oui, pour le paradis, le Southland est mon candidat.

Jes me donne un jarret de jambon et un grain de hominy.



Je veux retourner à Dixie

Je veux être un lutin dixie

Et mange du cornpone jusqu'à ce qu'il sorte de mes oreilles

Je veux parler avec des gentlemen du Sud

Et remets ma feuille blanche,

Je n'ai pas vu un bon lynchin