The Ocean, The Kingdom, and The Temptation - Maudlin Of The Well

The rolling tide of a sea gone mad whispers in its undine seductive lullabye. And I want the Lady Sea's moist hands to cover

me. The kingdom, and its watery shades of most alluring blue invite me in aquatic dreams to sleep inside her mighty womb. The dry

lungs of death shall burst in the misty depths, shadowed. As I fall below the light of sun and the drudgery of mankind's sins.

The sea, it calls unending to me. My sleep is hindered. The poisonous air in a suffering world is too great a burden to be had by

me. The crushing weight of maddening stage, the only delights in the arms of sin, and my will to live is weakening.

The sea nymphs glide through courseless heaven, drawing me through to the formless might and splendour of castles glistening,

the temples 'neath the churning waves that ever haunt my dreams. I bade farewell to the sun and stars and the wind that calls in

vernal song. For off I go to the land below, and pray the liquid fills me more than the air I so reluctantly share. Off to the

kingdom that's flooded my dreams and has been reflected in my saddened tears.

La marée roulante d'une mer devenue folle chuchote dans sa berceuse séduisante et ondulée. Et je veux que les mains humides de Lady Sea couvrent

moi. Le royaume et ses teintes aqueuses d'un bleu des plus séduisants m'invitent dans des rêves aquatiques à dormir dans son ventre puissant. Le sec

les poumons de la mort éclateront dans les profondeurs brumeuses, à l'ombre. Alors que je tombe sous la lumière du soleil et la corvée des péchés de l'humanité.

La mer, ça m'appelle sans fin. Mon sommeil est gêné. L'air toxique dans un monde souffrant est un fardeau trop lourd pour être supporté par

moi. Le poids écrasant de l'étape exaspérante, le seul plaisir dans les bras du péché, et ma volonté de vivre s'affaiblit.

Les nymphes marines glissent à travers le ciel sans cours, m'attirant à travers la puissance informe et la splendeur des châteaux scintillants,

les temples sous les vagues agitées qui hantent mes rêves. J'ai fait mes adieux au soleil et aux étoiles et au vent qui appelle

chanson vernale. Car je vais au pays d'en bas, et je prie que le liquide me remplisse plus que l'air que je partage à contrec?ur. En route pour le

royaume qui a inondé mes rêves et s'est reflété dans mes larmes attristées.