Stones of Octobers Sobbing - Maudlin Of The Well


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Paroles de Maudlin Of The Well - Stones of Octobers Sobbing

Another year dead, and the harvest moon;

Leaves burning is the peasant's legacy.

Knelling, as the cheek of Summer is kiss'd--

Shivering of the elm, she is entomb'd.

The hay wain creaks through the countryside

As poet Autumn's fires scorch all this world.

They are entranced by the turning mill wheel,

Clear and cutting with Proserpine's kiss.

Bless the sun, decked in gorgeous array--

Frost, and the dignity of flameless light,

The hermit's cottage, fashioned rough of stone--

Smoke rolling slow behind the orchard's bloom.



Like a cairn, the stones are aligned in silence;

Arrayed by a bloodless hand, out through veils.

Time is easily torn while pitchforks twist,

Twist as easily through her golden hair.



Seasons that kill years...

Death that mangles hearts...

Loves that lose their shine...

Tombs that are forgot...

Darkness awaits behind the suffering day.

Men that waste lives in search of Heaven.

Stones are sobbing in a vernal field.

Thoughts of spring and cascades before you die.

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Video de Maudlin Of The Well - Stones of Octobers Sobbing

Traduction de Maudlin Of The Well - Stones of Octobers Sobbing

Une autre année morte et la lune des moissons;

Les feuilles qui brûlent sont l'héritage du paysan.

En fléchissant, alors que la joue de l'été est embrassée--

Frissonnante de l'orme, elle est enterrée.

Le foin grince grince à travers la campagne

Alors que les feux du poète Autumn brûlent tout ce monde.

Ils sont fascinés par la roue du moulin qui tourne,

Clair et tranchant avec le baiser de Proserpine.

Bénissez le soleil, orné de magnifiques tableaux -

Le gel et la dignité de la lumière sans flamme,

La maison de l'ermite, façonnée en pierre brute--

La fumée roule lentement derrière la floraison du verger.



Comme un cairn, les pierres s'alignent en silence;

Arrayé par une main exsangue, à travers des voiles.

Le temps se déchire facilement tandis que les fourches se tordent,

Tordez aussi facilement dans ses cheveux dorés.



Des saisons qui tuent des années ...

La mort qui trompe les c?urs ...

Amours qui perdent leur éclat ...

Tombes oubliées ...

L'obscurité attend derrière le jour de la souffrance.

Des hommes qui gaspillent des vies à la recherche du ciel.

Des pierres sanglotent dans un champ vernal.

Pensées du printemps et des cascades avant de mourir.

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