Excerpts From Diary Of A Contender - Heaven 17

Tuesday 21/5 1985:

This morning the sky hung heavy; a dirty, yellow sky that kept me in bed

longer than I should have been in bed. A thunderclap, as loud as a bomb,

shot me into action. I was dressed and ready to leave for the studio in

ten minutes. Today, I'm in the car(?), for better or for worse. Not wishing

to go too far into the jungle of sound we stopped. We start another path.



Thursday 23/5 1985:

Deep in fear of running down the job I run into the estate. We are *not*

late. Socks, money, shirts, photographs of loved ones, tea, book,

telephone book, international driving license... We also need a day of

love before we go.

I speak of a spirit, as free as the wind, able to travel anywhere in the

world, nay, the universe; and yet, the only place that this spirit wishes

to be is home. But is this not the wish of the governing forces that are

higher even than the said spirit? Even the seed blown from the tree has

a predestined point; a point that must be met at some time. Paris has

lost some of its romance.



Thursday, 30 May 1985:



We return at dawn on Saturday; and it seems that the [tunnel?] will not

be discovered by the guards. Remorse is for the birds! We speak of a

dangerous dress that the girl puts on when she finds her lover. Fear in

the spring. [This following section is spoken very fast and with a strange

reverb.] Feeling of pleasure has been absorbed, the war is over, come home,

come home, [???] but to last the heroes of an unforgotten war, we are

expected to carry on as if the memory of the past was a pain which even

love could not overcome. We did have too much. We have had enough. There

will be more but tomorrow we'll be over the page as it always is. Help

please help me.



Friday, May 31st:



One of the boys took a strange turn. What was to be a simple film

soundtrack turned out to be more of an ordeal. Ian, now only having one

leg and laid up in a Paris hospital, was being visited by a gay black man

that he'd met in a nightclub. Martyn was lost forever in the underground

of Paris.

This last day in Paris and my stomach is in total turmoil. My heartbeat is

too fast. I cannot sit down, my thoughts revolve around only one thing,

yet I cannot focus my attention at all. Is it that we have broken some

unknown universal rule? Have we somehow angered a long-forgotten god? And

why, why when life for so long would seem to be worth living? Must this

bolt of unleashed fear be set free within my body? My mind is unclear.

Am I to be set free from the prison that I am in fear of living? Time will

tell us all. I know this but still a human would try to guess, or predict,

or dream how it will end... a totally pointless exercise. And yet, even

though I know this, I find myself reaching into the future with all my

powers, which are few, to try and glimpse a single look of the end. Oh,

how fucking futile the unexpected can be!

Today is bright, as yesterday was dark. The brightness comes from within,

but for me, my inner light is fast fading. Did I ever get a day of light

[day of life]?

Ian is safely at home with his parents in Sheffield, Martyn is living in

Amsterdam, and Glenn is alone. How often as children we played at being

something we were not; now that we are grown all this play-acting must

just stop, love must take over this desire to be someone or something

else. We all have love to give but not all of us get given love.



Tuesday, 13/7 1985:

A long time, a lot done, new places have been seen, new things have been

tried. Today is okay to tell the world that we are fine. ALL INVOLVED ARE

FINE - I think

Mardi 21/5 1985:

Ce matin, le ciel était lourd; un ciel sale et jaune qui m'a gardé au lit

plus longtemps que je n'aurais dû être au lit. Un coup de tonnerre, aussi fort qu'une bombe,

m'a tiré dessus. J'étais habillé et prêt à partir pour le studio à \u003cbr />
dix minutes. Aujourd'hui, je suis dans la voiture (?), Pour le meilleur ou pour le pire. Je ne souhaite pas

pour aller trop loin dans la jungle du son nous nous sommes arrêtés. Nous commençons un autre chemin.



Jeudi 23/5 1985:

Profondément dans la crainte de perdre mon emploi, je cours dans le domaine. Nous ne sommes * pas *

en retard. Chaussettes, argent, chemises, photographies d'êtres chers, thé, livre,

annuaire téléphonique, permis de conduire international ... Nous avons également besoin d'une journée de

aimer avant de partir.

Je parle d'un esprit, aussi libre que le vent, capable de voyager n'importe où dans le

monde, non, l'univers; et pourtant, le seul endroit que cet esprit souhaite

être est à la maison. Mais n'est-ce pas le souhait des forces dirigeantes qui sont

même plus élevé que ledit esprit? Même la graine soufflée de l'arbre a

un point prédestiné; un point qui doit être rencontré à un moment donné. Paris a

perdu une partie de sa romance.



Jeudi 30 mai 1985:



Nous rentrons samedi à l'aube; et il semble que le [tunnel?] ne

être découvert par les gardes. Le remords est pour les oiseaux! On parle d'un

robe dangereuse que la fille met quand elle trouve son amant. Peur

le printemps. [Cette section suivante est parlée très rapidement et avec un étrange

reverb.] Le sentiment de plaisir a été absorbé, la guerre est finie, rentrez chez vous,

rentre à la maison, [???] mais pour durer les héros d'une guerre inoubliable, nous sommes

devrait continuer comme si la mémoire du passé était une douleur qui même

l'amour ne pouvait pas vaincre. Nous en avions trop. Nous en avons assez. Là \u003cbr />
sera plus mais demain nous serons sur la page comme il est toujours. Aide

s'il vous plaît aidez-moi.



Vendredi 31 mai:



L'un des garçons a pris un tour étrange. Ce qui devait être un simple film

la bande originale s'est avérée être plus une épreuve. Ian, n'en ayant plus qu'un

jambe et couché dans un hôpital de Paris, était visité par un homme noir gay

qu'il avait rencontré dans une boîte de nuit. Martyn a été perdue à jamais dans le métro

de Paris.

Ce dernier jour à Paris et mon estomac est en pleine tourmente. Mon rythme cardiaque est

trop vite. Je ne peux pas m'asseoir, mes pensées tournent autour d'une seule chose,

pourtant je ne peux pas du tout concentrer mon attention. Est-ce que nous en avons cassé \u003cbr />
règle universelle inconnue? Avons-nous en quelque sorte mis en colère un dieu oublié depuis longtemps? Et

pourquoi, pourquoi quand la vie pendant si longtemps semble valoir la peine d'être vécue? Faut-il

un éclair de peur déchaîné soit libéré dans mon corps? Mon esprit n'est pas clair.

Dois-je être libéré de la prison que j'ai peur de vivre? Le temps sera

dites-nous tout. Je le sais mais un humain essaierait toujours de deviner, ou de prédire,

ou rêver comment ça va finir ... un exercice totalement inutile. Et pourtant, même

bien que je sache cela, je me retrouve dans le futur avec tous mes

pouvoirs, qui sont peu nombreux, pour entrevoir un seul regard de la fin. Oh,

putain de futile l'inattendu peut être putain!

Aujourd'hui est brillant, comme hier était sombre. La luminosité vient de l'intérieur,

mais pour moi, ma lumière intérieure s'estompe rapidement. Ai-je déjà eu un jour de lumière

[jour de vie]?

Ian est en sécurité chez lui avec ses parents à Sheffield, Martyn vit à \u003cbr />
Amsterdam et Glenn est seul. Combien de fois en tant qu'enfants nous jouions à être

quelque chose que nous n'étions pas; maintenant que nous avons grandi tout ce jeu d'acteur doit

arrêtez juste, l'amour doit prendre le dessus sur ce désir d'être quelqu'un ou quelque chose

autre. Nous avons tous de l'amour à donner, mais nous ne recevons pas tous de l'amour.



Mardi 13/7 1985:

Longtemps, beaucoup fait, de nouveaux endroits ont été vus, de nouvelles choses ont été

a essayé. Aujourd'hui, c'est bien de dire au monde que nous allons bien. TOUS IMPLIQUÉS SONT

FIN - je pense