Mr Zero - Yardbirds

Keith Relf solo singles



(Bob Lind)

Diamonds of silvery rain in the fountains,

And ten-cent red roses from department store counters,

Watching the moonlight reflect off the river,

Beside where the trains cross the bridge and slow down,

Trains with white letters on black iron sides,

And white rushing water that all rolls away,

And Little Miss Someone does not want to stay.

Everyone's moving, with places to go,

And Mr Zero, he sadly stands still.

As the water goes one way, the train goes another,

Mr Zero stands still and Miss Someone don't bother.



Yesterday's kiss will be cold by tomorrow,

As campfires of midnight dissolve in the darkness.

The room is deserted, the blinds have been drawn,

Little Miss Someone has packed up and gone.

Fast moving cars disappear down the highway,

With signs that say "hitch-hikers: do not disturb".

Mr Zero looks quietly up from the curb.

Morning has faded, and shadows have grown,

And Little Miss Someone is on her way home.

Mr Zero stands watching, her plane flies above,

And with frost-bitten hands waves goodbye to his love.



Walks through the park on a bright summer Sunday,

And tapestry kittens that hung on the wall.

They all die in the air like a soft minor chord,

A vacancy sign, and a bulletin board.

Mr Zero is wrapping his jacket around him,

Speaking kind words that should have been said long ago,

But Little Miss Someone does not want to know.

The night is deserted, there's dust on the shelf,

Mr Zero sits lonely and talks to himself.

It's too late to change, the fine line has been crossed,

The charades are all done, Mr Zero has lost.

Singles solo de Keith Relf



(Bob Lind)

Diamants de pluie argentée dans les fontaines,

Et des roses rouges de dix cents des comptoirs des grands magasins,

En regardant le clair de lune se refléter sur la rivière,

À côté de l'endroit où les trains traversent le pont et ralentissent,

Trains avec des lettres blanches sur les côtés en fer noir,

Et de l'eau blanche qui roule tous,

Et Little Miss Someone ne veut pas rester.

Tout le monde bouge, avec des endroits où aller,

Et M. Zero, il reste malheureusement immobile.

Comme l'eau va dans un sens, le train va dans un autre,

M. Zero reste immobile et Mlle Quelqu'un ne dérange pas.



Le baiser d'hier sera froid demain,

Alors que les feux de camp de minuit se dissolvent dans l'obscurité.

La salle est déserte, les stores ont été tirés,

Little Miss Someone a fait ses valises et est parti.

Des voitures en mouvement rapide disparaissent sur l'autoroute,

Avec des pancartes qui disent "auto-stoppeurs: ne pas déranger".

M. Zero regarde tranquillement du trottoir.

Le matin s'est estompé et les ombres se sont développées,

Et Little Miss Someone est sur le chemin du retour.

M. Zero se tient à regarder, son avion vole au-dessus,

Et avec des mains gelées, adieu à son amour.



Promenades dans le parc par un dimanche d'été lumineux,

Et des chatons en tapisserie accrochés au mur.

Ils meurent tous dans l'air comme un accord mineur et doux,

Un panneau d'affichage et un tableau d'affichage.

M. Zero enroule sa veste autour de lui,

En prononçant des paroles aimables qui auraient dû être dites il y a longtemps,

Mais Little Miss Someone ne veut pas savoir.

La nuit est déserte, il y a de la poussière sur l'étagère,

M. Zero est assis seul et se parle à lui-même.

Il est trop tard pour changer, la ligne fine a été franchie,

Les charades sont terminées, M. Zero a perdu.