Poncho and Lefty - Willie Nelson and Merle Haggard


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Paroles de Willie Nelson and Merle Haggard - Poncho and Lefty

Livin' on the road my friend, is gonna keep you free and clean

And now you wear your skin like iron, and your breath is hard as kerosene

Weren't you mamma's only boy-oy, her favourite one it seems

She began to cry when you said, good-bye, sank to your dream



Poncho was a bandit boy, his horse was fast as polished steel

He wore his gun outside his pants, for all the honest world to feel

Poncho met his match, you know, on the deserts down in Mexico

Nobody heard his dyin' word, but that's the way it goes



All the Federales, they say

They could have had him any day

They only let him slip a-away

Out of kindness I suppose



Lefty he can't sing the blues, all night long like he used to

The dust that Poncho bit down south, ended up in Lefty's mouth

The day they lay poor Poncho low, Lefty split for Ohio

Where he got the bread to go, there ain't nobody knows



All the Federales they say-ay

We could have had him any day

We only let him slip a-away

Out of kindness I suppose



The poets tell how Poncho fe-ell, and Lefty's livin' in cheap hote-els

The desert's quiet, Cleveland's cold, and so the story ends we're told

Poncho needs your prayers, it's true, save a few for Lefty too

He only did what he had to do, and now he's growin' old



All the Federales, they say

We could have had him any day

They only let him go so-o long

Out of kindness I suppose



A few grey Federales, they say-ay-ay

We could have had him any day

We only let him go so-o long

Out of kindness I suppose

Imprimer Poncho and Lefty - Willie Nelson and Merle Haggard

Video de Willie Nelson and Merle Haggard - Poncho and Lefty

Traduction de Willie Nelson and Merle Haggard - Poncho and Lefty

Vivre sur la route mon ami, ça va te garder libre et propre

Et maintenant vous portez votre peau comme du fer, et votre haleine est dure comme le kérosène

N'étais-tu pas le seul garçon de maman, son préféré semble-t-il

Elle a commencé à pleurer quand tu as dit, au revoir, sombré dans ton rêve



Poncho était un garçon bandit, son cheval était rapide comme de l'acier poli

Il portait son arme en dehors de son pantalon, pour que tout le monde honnête se sente

Poncho a rencontré son match, vous savez, dans les déserts du Mexique

Personne n'a entendu son mot de mort, mais c'est comme ça que ça se passe



Tous les fédéraux, disent-ils

Ils auraient pu l'avoir n'importe quel jour

Ils l'ont seulement laissé filer

Par gentillesse je suppose



Lefty, il ne peut pas chanter le blues, toute la nuit comme il le faisait

La poussière que Poncho a mordue vers le sud s'est retrouvée dans la bouche de Lefty

Le jour où ils ont posé le pauvre Poncho, Lefty s'est séparé pour l'Ohio

Où il a trouvé le pain, personne ne le sait



Tous les fédéraux disent-ils-ay

Nous aurions pu l'avoir n'importe quel jour

Nous l'avons seulement laissé filer

Par gentillesse je suppose



Les poètes racontent comment Poncho fe-ell et Lefty vivent dans des hôtels bon marché \u003cbr />
Le désert est calme, Cleveland est froid, et l'histoire se termine, on nous raconte

Poncho a besoin de vos prières, c'est vrai, gardez-en quelques-uns pour Lefty aussi

Il n'a fait que ce qu'il avait à faire, et maintenant il vieillit



Tous les fédéraux, disent-ils

Nous aurions pu l'avoir n'importe quel jour

Ils ne l'ont laissé que si longtemps

Par gentillesse je suppose



Quelques Federales grises, disent-ils-ay-ay

Nous aurions pu l'avoir n'importe quel jour

Nous l'avons laissé partir si longtemps

Par gentillesse je suppose

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