Dead Behind The Eyes - While She Sleeps

Surrounding me is a picture of a world gone wrong,
Paved with sickness and the broken young,
Count the saved, count the graves. Count the cuts and taste the blood in the
rain.
They are the worthless unforgiving, the murdered amongst the living.
So why spend you're time, waiting and wishing and praying for a better living.
When your force-fed their decisions. You'll all just get bitten again.
I can't piece together the problems, I'm telling you to think for yourself.
I can't put peace in the violence; I'm not going to fight it.
I can feel the breath on the back of my neek,
I'm spitting blood to get your voice out my head.
I'm feeding on the pain of the sick, the needle and the hospital bed.

We are nothing like these creature. Guilty, scarred, I can't forget.
You starve pride to feed your selfishness.
We are nothing like these creatures. Guilty, scarred, I can't forget.

You still feed the hunger leading you to your death;
You'll give it up when you've got not a time left.
You're breeding in a national debt. You starve pride to feed your selfishness.
Surrounding me is a picture of a world gone wrong,
Paved with sickness and the broken young.
Count the saved, count the graves. Count the cuts and taste the blood in the
rain.
Have we given up ? Should we hang the bastard young ?
To save them from the nothing that so many have become.

We're all dead behind the eyes, were just dreaming of a better life.
We're all dead behind the eyes, were just dreaming of a better life.
We are nothing like these creatures.
Guilty, scarred, I can't forget. You starve pride to feed your selfishness.
We are nothing, like these creatures. Guilty, scarred, I can't forget.

I let the bastards surround me.

M'entourant est l'image d'un monde qui a mal tourné,
Pavé de maladie et de jeunes brisés,
Comptez les sauvés, comptez les tombes. Comptez les coupes et goûtez le sang dans le
pluie.
Ce sont les impitoyables sans valeur, les assassinés parmi les vivants.
Alors, pourquoi passez-vous du temps à attendre, à souhaiter et à prier pour une vie meilleure.
Quand vous avez nourri de force leurs décisions. Vous serez tous mordus à nouveau.
Je ne peux pas reconstituer les problèmes, je vous dis de penser par vous-même.
Je ne peux pas mettre la paix dans la violence; Je ne vais pas le combattre.
Je peux sentir le souffle sur le dos de mon neek,
Je crache du sang pour faire sortir ta voix de ma tête.
Je me nourris de la douleur des malades, de l'aiguille et du lit d'hôpital.

Nous ne ressemblons en rien à ces créatures. Coupable, marqué, je ne peux pas oublier.
Vous affamez la fierté de nourrir votre égoïsme.
Nous ne ressemblons en rien à ces créatures. Coupable, marqué, je ne peux pas oublier.

Vous nourrissez toujours la faim qui vous mène à votre mort;
Vous l'abandonnerez quand il ne vous restera plus de temps.
Vous élevez une dette nationale. Vous affamez la fierté de nourrir votre égoïsme.
M'entourant est l'image d'un monde qui a mal tourné,
Pavé de maladie et de jeunes brisés.
Comptez les sauvés, comptez les tombes. Comptez les coupes et goûtez le sang dans le
pluie.
Avons-nous abandonné? Faut-il pendre le salaud jeune?
Pour les sauver du rien que tant de gens sont devenus.

Nous sommes tous morts derrière les yeux, rêvions d'une vie meilleure.
Nous sommes tous morts derrière les yeux, rêvions d'une vie meilleure.
Nous ne ressemblons en rien à ces créatures.
Coupable, marqué, je ne peux pas oublier. Vous affamez la fierté de nourrir votre égoïsme.
Nous ne sommes rien, comme ces créatures. Coupable, marqué, je ne peux pas oublier.

Je laisse les salauds m'entourer.