Vicar Of Bray American - Unknown

Vicar of Bray (American)



When royal George ruled o'er this land and loyalty no harm meant

For Church and King I made a stand and so I got preferment

I still opposed all party tricks for reasons I thought clear ones

And swore it was their politics to made us all Presbyterians



And this is the law that I'll maintain until my dying day, sir

That whatsoever King might reign, I'll still be Vicar of Bray, sir



When Stamp Act passed the Parliament to bring some grist to mill, sir

To back it was my firm intent, but soon there came repeal, sir

I quickly joined the common cry that we should all be slaves, sir

The House of Commons was a sty, the Kings and Lords were knaves, sir

Now all went smooth, as smooth as can be, I strutted and looked big,

sir

And when they laid a tax on tea, I was believed a Whig, sir

I laughed at all the vain pretense of taxing at a distance

And swore before I'd pay a pence, I'd make a firm resistance

A Congress now was swiftly called that we might work together

I thought that Britain would, appalled, be glad to make fair weather

And soon repeal the obnoxious bill, as she had done before, sir

That we could gather wealth at will and so be taxed no more, sir



But Britain was not quickly seared, she told another story

When independence was declared, I figured as a Tory

Declared it was a rebellion base, to take up arms - I cursed it

For faith, it seemed a settled case, that we should soon be worsted

The French alliance now came forth, the Papists flocked in shoals, sir

Friseurs, marquis, valets of birth and priests to save our souls, sir

Our "good ally" with towering wing embraced the flattering hope sir

That we should own him for our King and then invite the Pope, sir



Then Howe with drum and great parade marched through this famous town,

sir

I cried, "May fame his temples shade with laurels for a crown," sir

With zeal I swore to make amends to good old constitution

And drank confusion to the friends of our late revolution

But poor Burgoyne's announced my fate the Whigs began to glory

I now bewailed my wretched state, that e'er I was a Tory

By night the British left the shore, nor cared for friends a fig, sir

I turned the cat in pan once more and so became a Whig, sir

I called the army butchering dogs, a bloody tyrant King, sir

The Commons, Lords a set of rogues that all deserved to swing, sir

Since fate has made us great and free and Providence can't alter

So Congress e'er my King shall be, until the times do alter



@America @war @parody

see also VICBRAY

printed in Songbook of the American Revolution by Carolyn Rabson

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SF

===DOCUMENT BOUNDARY

Vicaire de Bray (américain)



Lorsque le roi George régna sur cette terre et la loyauté, aucun mal signifiait

Pour Church and King, j'ai pris position et j'ai donc obtenu la préférence

Je me suis toujours opposé à toutes les astuces de fête pour des raisons que je pensais claires

Et juré que c'était leur politique de faire de nous tous des presbytériens



Et c'est la loi que je maintiendrai jusqu'à mon dernier jour, monsieur

Pour que règne le Roi, je serai toujours Vicaire de Bray, monsieur



Lorsque la loi sur le timbre a été adoptée par le Parlement pour apporter un peu de grain au moulin, monsieur

Pour soutenir c'était ma ferme intention, mais bientôt il est venu abrogation, monsieur

J'ai rapidement rejoint le cri commun que nous devrions tous être des esclaves, monsieur

La Chambre des communes était un sty, les rois et les seigneurs étaient des fripons, monsieur

Maintenant, tout s'est bien passé, aussi lisse que possible, je me suis pavané et j'ai regardé grand,

monsieur

Et quand ils ont imposé une taxe sur le thé, on m'a cru un Whig, monsieur

J'ai ri de toute la vaine prétention de taxer à distance

Et jure avant de payer un pence, je ferais une ferme résistance

Un congrès a maintenant été rapidement convoqué pour que nous puissions travailler ensemble

Je pensais que la Grande-Bretagne serait consternée de faire du beau temps

Et bientôt abroger le projet de loi odieux, comme elle l'avait fait auparavant, monsieur

Que nous pourrions rassembler des richesses à volonté et donc ne plus être taxés, monsieur



Mais la Grande-Bretagne n'a pas été rapidement saisie, elle a raconté une autre histoire

Lorsque l'indépendance a été déclarée, je figurais comme un Tory

Déclaré que c'était une base de rébellion, pour prendre les armes - je l'ai maudit

Pour la foi, il semblait un cas établi, que nous devrions bientôt être malmenés

L'alliance française est maintenant apparue, les Papistes ont afflué en bancs, monsieur

Friseurs, marquis, valets de naissance et prêtres pour sauver nos âmes, monsieur

Notre "bon allié\" avec une aile imposante a embrassé l'espoir flatteur monsieur

Que nous devrions le posséder pour notre roi, puis inviter le pape, monsieur



Puis Howe avec tambour et grand défilé a défilé dans cette célèbre ville,

monsieur

M'écriai-je, "Peut faire la renommée de ses temples avec des lauriers pour une couronne", monsieur

Avec zèle j'ai juré de faire amende honorable à la bonne vieille constitution

Et a bu la confusion aux amis de notre révolution tardive

Mais le pauvre Burgoyne a annoncé mon sort, les Whigs ont commencé à se glorifier

Je pleurais maintenant mon misérable état, que j'étais un Tory

La nuit, les Britanniques ont quitté le rivage, sans se soucier de leurs amis une figue, monsieur

J'ai retourné le chat dans la casserole une fois de plus et je suis devenu Whig, monsieur

J'ai appelé les chiens de boucherie de l'armée, un roi tyran sanglant, monsieur

The Commons, Lords un ensemble de coquins qui méritaient tous de balancer, monsieur

Puisque le destin nous a rendus grands et libres et que la Providence ne peut pas changer

Donc, le Congrès sera mon roi, jusqu'à ce que les temps changent



@America @war @parody

voir aussi VICBRAY

imprimé dans Songbook of the American Revolution par Carolyn Rabson

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