Telling Takes Me Home - Unknown

THE TELLING TAKES ME HOME

(Bruce Phillips)



Let me sing to you all those songs I know

Of the wild, windy places locked in timeless snow,

And the wide, crimson deserts where the muddy rivers flow.

It's sad, but the telling takes me home.



Come along with me to some places that I've been

Where people all look back and they still remember when,

And the quicksilver legends, like sunlight, turn and bend

It's sad, but the telling takes me home.



Walk along some wagon road, down the iron rail,

Past the rusty Cadillacs that mark the boom town trail,

Where dreamers never win and doers never fail,

It's sad, but the telling takes me home.



I'll sing of my amigos, come from down below,

Whisper in their loving tongue the songs of Mexico.

They work their stolen Eden, lost so long ago.

It's sad, but the telling takes me home.



I'll tell you all some lies, just made up for fun,

And the loudest, meanest brag, it can beat the fastest gun.

I'll show you all some graves that tell where the West was won.

It's sad, but the telling takes me home.



And I'll sing about an emptiness the East has never known,

Where coyotes don't pay taxes and a man can live alone,

And you've got to walk forever just to find a telephone.

It's sad, but the telling takes me home.



Let me sing to you all those songs I know

Of the wild, windy places locked in timeless snow,

And the wide, crimson deserts where the muddy rivers flow.

It's sad, but the telling takes me home.



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Copyright Strike Music

Recorded by Ed Trickett on The Telling Takes Me Home, FSI-46

and by Guy Carawan on The Telling Takes Me Home

@west @home

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LE TÉLÉPHONE ME RAPPORTE

(Bruce Phillips)



Permettez-moi de vous chanter toutes ces chansons que je connais

Des endroits sauvages et venteux enfermés dans une neige intemporelle,

Et les vastes déserts pourpres où coulent les rivières boueuses.

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



Viens avec moi dans certains endroits où je suis allé \u003cbr />
Où les gens regardent tous en arrière et se souviennent encore quand,

Et les légendes de vif-argent, comme la lumière du soleil, se tournent et se plient

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



Marcher le long d'une route de wagon, descendre le rail de fer,

Après les Cadillac rouillées qui marquent le sentier de la ville en plein essor,

Où les rêveurs ne gagnent jamais et les faiseurs n'échouent jamais,

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



Je vais chanter mes amigos, je viens d'en bas,

Murmure dans leur langue aimante les chansons du Mexique.

Ils travaillent leur Eden volé, perdu il y a si longtemps.

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



Je vais vous dire quelques mensonges, juste pour le plaisir,

Et le vantard le plus fort et le plus méchant, il peut battre le pistolet le plus rapide.

Je vais vous montrer toutes les tombes qui disent où l'Occident a été gagné.

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



Et je chanterai un vide que l'Orient n'a jamais connu,

Où les coyotes ne paient pas d'impôts et où un homme peut vivre seul,

Et vous devez marcher pour toujours juste pour trouver un téléphone.

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



Permettez-moi de vous chanter toutes ces chansons que je connais

Des endroits sauvages et venteux enfermés dans une neige intemporelle,

Et les vastes déserts pourpres où coulent les rivières boueuses.

C'est triste, mais le récit me ramène à la maison.



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Copyright Strike Music

Enregistré par Ed Trickett sur The Telling Me Take Home, FSI-46

et par Guy Carawan sur The Telling Me Take Home

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