Sportin Bachelors - Unknown

Sportin' Bachelors



Come all you sportin' bachelors, take warning by me;

Don't never live as fast as I have.

I married me a wife, makes me tired of my life,

Let me strive and do all that I can, can, can

Let me strive and do all that I can.



She dresses me in rags, in the worst of old rags;

She dresses like a lady so fine.

She goes into town, both by day and by night

With a gentleman who drinks wine etc.



Six days of the week must I labor for my keep

She swears three of them must be hers.

She cries and she squalls, and she swears she'll have them all

And she swears that I'm obliged to mun-tain her etc.



And when I come home, I am just like one alone

She never says a word I can hear;

All fearful of my doom, I go marchn' to my room

With my bare joints all trem-ba-lin' with fear etc.



Come O gentle death, and take away her breath

Give me back my freedom once more.

I'll live out my days just a-hatin' of her ways

And I swear I'll never marry any more etc.



Learned from Margo Mayo, ca 1950. A similar song is printed in

American Ballads and Folk Songs, Lomax.

See also WHNYNGMN, ROCKCRAD

@marriage

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY

Baccalauréat en sport



Venez tous vous célibataires sportifs, prenez garde par moi;

Ne vivez jamais aussi vite que moi.

Je me suis marié avec une femme, me fatigue de ma vie,

Permettez-moi de m'efforcer et de faire tout ce que je peux, je peux, je peux

Permettez-moi de m'efforcer et de faire tout ce que je peux.



Elle m'habille de haillons, dans le pire des vieux haillons;

Elle s'habille comme une dame si bien.

Elle va en ville, de jour comme de nuit

Avec un gentleman qui boit du vin etc.



Six jours par semaine, dois-je travailler pour mon donjon

Elle jure que trois d'entre eux doivent être les siens.

Elle pleure et elle hurle, et elle jure qu'elle les aura tous

Et elle jure que je suis obligée de la maintenir, etc.



Et quand je rentre à la maison, je suis comme un seul

Elle ne dit jamais un mot que j'entends;

Tout peur de ma perte, je vais marcher dans ma chambre

Avec mes articulations nues tout trém-ba-lin de peur etc.



Viens, ô douce mort, et retiens son souffle

Rends-moi ma liberté une fois de plus.

Je vivrai mes jours juste en haïssant ses voies

Et je jure que je ne me marierai plus jamais etc.



Tiré de Margo Mayo, vers 1950. Une chanson similaire est imprimée en

Ballades américaines et chansons folkloriques, Lomax.

Voir aussi WHNYNGMN, ROCKCRAD

@mariage

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RG

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