Mauling Live Oak - Unknown

MAULING LIVE OAK



One day I was traveling - I happened to

think,

"My pockets are empty, I can't buy a drink.

I am an old bummer, completely dead broke,

And there's nothing to do but go mauling

live oak."



cho: Derry down, down, down, derry down.



Well, I went right away for to see Captain

Swift

To see and find out could he give me a lift.

He looked me all over from top unto toe.

Said he "You're the boy that live-oaking

must go "



Then he brought out the contract that both

of us signed

To keep and secure if we both were inclined.

But the very best wages that he could afford

'Twas only five dollars a month and my board



Well I had to get ready without much delay,

For the schooner was sailing the very next

day

With two pints of whiskey, a pipe and a spoon

Away we set sail for Mosquito Lagoon.



Now, bluff was the game that we played every

night,

And in it Charles Douglass he took great

delight.

He won my tobacco, while others cracked jokes

He said, "You'll get more when you're mauling

live oak."



Now, mauling this live oak, I'll say it's

great fun,

Especially the dry ones that makes the sweat

run.

It'll make your axe handles to glimmer and

smoke -

You need iron handles for mauling live oak.



It's mosquitoes by day, and it's midges by

night.

The sand fleas and bedbugs, they bother me

quite,

And if ever back home my head I do poke,

To Hell I'll kick Swift and his goddam

live oak.





From Minstrelsy of Maine, via Tom McHenry who blended three

versions.

Recorded by the Boarding Party, Folk Legacy

@logging @work @bitching

filename[ MAULOAK

RG

===DOCUMENT BOUNDARY

MAULING LIVE OAK



Un jour, je voyageais - il m'est arrivé de

pense,

"Mes poches sont vides, je ne peux pas acheter un verre.

Je suis un vieux déçu, complètement fauché,

Et il n'y a rien d'autre à faire que de se faire mutiler

chêne vivant. "



cho: Derry down, down, down, derry down.



Eh bien, je suis allé tout de suite pour voir le capitaine

Rapide

Pour voir et découvrir pourrait-il me donner un ascenseur.

Il m'a regardé de haut en bas.

Il a dit: "Tu es le garçon qui vit en direct

doit aller "



Puis il a sorti le contrat que les deux

nous avons signé \u003cbr />
Pour garder et sécuriser si nous étions tous les deux enclins.

Mais le meilleur salaire qu'il pouvait se permettre

'Twas seulement cinq dollars par mois et ma planche



Eh bien, je devais me préparer sans trop de retard,

Car la goélette naviguait la toute prochaine

jour

Avec deux pintes de whisky, une pipe et une cuillère

Nous partons pour Mosquito Lagoon.



Maintenant, le bluff était le jeu auquel nous jouions tous les

nuit,

Et dedans Charles Douglass il a pris une grande

plaisir.

Il a gagné mon tabac, tandis que d'autres plaisantaient

Il a dit: "Vous obtiendrez plus lorsque vous mutilerez

chêne vivant. "



Maintenant, en mutilant ce chêne vivant, je dirai que c'est

très amusant,

Surtout ceux secs qui font transpirer

courir.

Cela rendra vos manches de hache brillants et

fumée -

Vous avez besoin de poignées en fer pour couper du chêne vivant.



Ce sont des moustiques de jour et des moucherons de

nuit.

Les puces de sable et les punaises de lit, elles me dérangent

tout à fait,

Et si jamais je rentre à la maison, je pique,

En enfer, je donnerai un coup de pied à Swift et à son putain de

chêne vivant.





De Minstrelsy of Maine, via Tom McHenry qui a mélangé trois

versions.

Enregistré par le Boarding Party, Folk Legacy

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RG

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