Long Strike - Unknown

THE LONG STRIKE



Come all ye jolly colliers, wherever you may be

I pray you will attention give and listen unto me,

I have a doleful tale, and to relate it I will strive,

About the great suspension in eighteen seventy-five.



In eighteen hundred and seventy-five, our masters did conspire

To keep men, women, and children without either food or fire.

They tho't to starve us to submit with hunger and with cold,

But the miners did not fear them, but stood out brave and bold.



Now two long months are nearly o'er, that no one can deny,

And for to stand another month we are willing for to try,

Our wages shall not be reduced, tho' poverty do reign,

We'll have seventy-four basis, boys, before we'll work again.



And when we get the basis boys, we'll work again with joy.

We'll never mind those blacklegs named peddlers or decoys,

May the world all frown upon them for such traitors they have been!

And may each miner think of whene'er we do begin.



So come all you jolly colliers, that appreciate good times,

And never mind them blacklegs I have mentioned in my rhymes.

They are a disgrace unto their race wherever they may be

Traitors to their fellow miners, likewise society.



From Songs and Ballads of the Anthracite Miners, Korson

Note: See note on WBASONG

No tune provided; sings well to Jam on Gerry's Rock

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RG

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LA LONGUE GRÈVE



Venez tous, jolly colliers, où que vous soyez

Je prie que vous accordiez attention et écoutez-moi,

J'ai un conte dolent, et pour le raconter je m'efforcerai,

À propos de la grande suspension de dix-huit soixante-quinze.



En dix-huit cent soixante-quinze, nos maîtres ont conspiré \u003cbr />
Pour garder les hommes, les femmes et les enfants sans nourriture ni feu.

Ils ne nous affament pas pour nous soumettre à la faim et au froid,

Mais les mineurs ne les craignaient pas, mais se sont montrés courageux et audacieux.



Maintenant, deux longs mois sont presque passés, que personne ne peut nier,

Et pour rester encore un mois, nous sommes prêts à essayer,

Nos salaires ne doivent pas être réduits, la pauvreté règne,

Nous aurons soixante-quatorze ans, les garçons, avant de travailler à nouveau.



Et quand nous aurons les garçons de base, nous travaillerons à nouveau avec joie.

Nous ne ferons jamais attention à ces pattes noires appelées colporteurs ou leurres,

Que le monde les fronce les sourcils pour ces traîtres qu'ils ont été!

Et que chaque mineur pense à quand nous commencerons.



Alors venez tous, colliers joyeux, qui appréciez les bons moments,

Et peu importe les jambes noires que j'ai mentionnées dans mes rimes.

Ils sont une honte pour leur race où qu'ils se trouvent

Traîtres à leurs camarades mineurs, tout comme la société.



Extrait des chansons et ballades des mineurs anthracites, Korson

Remarque: Voir la note sur WBASONG

Aucun morceau fourni; chante bien à Jam on Gerry's Rock

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RG

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