Liverpool Judies Ii - Unknown

Liverpool Judies (II)



When I was a youngster I sailed with the rest

On a Liverpool packet bound out for the West.

We anchored one day in the harbor of Cork,

Then we put out for the port of New York.



And it's row, row bullies, row,

Them Liverpool judies have got us in tow



For forty two days we was hungry and sore.

Oh, the winds was again'us, the gales, they did roar.

But off Battery Point we did anchor at last

With our jib'boom hove to and the canvas all fast.



The boardinghouse masters was off in a trice

A'shouting and promising all that was nice,

And one fat old crimp took a fancy to me.

Says he, ''You're a fool, lad, to follow the sea.''

Says he, ''There's a job as is waiting for you,

With lashings o'liquor and bugger'all to do.''

Says he, ''Wha'd'yer say, lad, will you jump her too?''

Says I, ''You old bastard, I'm damned if I do.''



But the best of intentions, they never goes far.

After thirty two days at the door of a bar

I tossed off me liquor and what do you think?

That rotten old bastard had drugs in me drink.



The next I remember, I woke in the morn

On a three skys'l yarder bound south round Cape Horn.

With an old suit of oilskins and two pairs of socks

And a bloomin' great head and a dose of the pox.



Now all you young sailors take a warnin' by me.

Keep and eye on yer drinks when the liquor is free.

And pay no attention to runner or whore

When your hat's on your head and your feet's on the shore

See also LIVJUDY

@sailor @shanghai

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===DOCUMENT BOUNDARY

Liverpool Judies (II)



Quand j'étais jeune, j'ai navigué avec les autres

Sur un paquet de Liverpool à destination de l'Ouest.

Nous avons jeté l'ancre un jour dans le port de Cork,

Ensuite, nous sommes partis pour le port de New York.



Et c'est rangée, rangée intimidateurs, rangée,

Les juges de Liverpool nous ont remorqués



Pendant quarante-deux jours, nous avons eu faim et mal.

Oh, les vents étaient encore là, les coups de vent, ils ont rugi.

Mais au large de Battery Point, nous avons enfin jeté l'ancre

Avec notre foc jib'boom et la toile très vite.



Le maître de la pension était parti en un clin d'?il

Un cri et promettant tout ce qui était sympa,

Et un vieux gros sertissage m'a pris de fantaisie.

Dit-il, "" Vous êtes un imbécile, mon garçon, pour suivre la mer. ""

Il dit: Il y a un travail qui vous attend,

Avec des arrimages o'liquor et bugger'all to do. ''

Dit-il, '' Wha'd'yer dire, mon garçon, tu vas la sauter aussi? ''

Dit moi, '' Vous vieux salaud, je suis damné si je le fais. ''



Mais les meilleures intentions du monde ne vont jamais loin.

Après trente deux jours à la porte d'un bar

J'ai jeté de l'alcool et qu'en pensez-vous?

Ce vieux salaud pourri avait de la drogue en moi.



La prochaine dont je me souviens, je me suis réveillé le matin

Sur un skys'l yarder de trois vers le sud en direction du cap Horn.

Avec un vieux costume de cirés et deux paires de chaussettes

Et une grande tête fleurie et une dose de variole.



Maintenant, vous tous les jeunes marins, prenez un avertissement par moi.

Gardez un ?il sur vos boissons lorsque la liqueur est libre.

Et ne faites pas attention au coureur ou à la pute

Quand ton chapeau est sur ta tête et tes pieds sur le rivage

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