Iron Lady Maggie May - Unknown

The Iron Lady (Maggie May)



I'm an able-bodied seaman, one of Plymouth's native sons;

Oh, the Navy's been my life since I left school.

Well, I joined to have a job; it was either that or rob,

And I never thought I'd curse Britannia's rule.

But I hadn't really bargained for you, dear Maggie May,

Though I'd heard it said that war would set us right,

And when the Argies did invade, I should have known that you'd

decide

That, to show that you're a man, we'd have to fight.



cho: Oh Maggie, Maggie May, you have sent us far away

To fight upon the Falklands' cruel shore;

In the freezing southern ocean, we're caught in the

commotion

Of your useless bloody politician's war.



Well, it's true the Falkland islanders had reason to complain,

For no one likes to vanish in the night.

And it's clear to any punter that the generals in their junta

Just wanted an excuse to start a fight.

Ah, but Maggie, just like them, you weren't too popular back home

And the thought of war just filled your heart with glee,

"We will fight them on the beaches," could be heard in all your

speeches,

And the whole damn Navy had to go to sea.



cho:



As the fleet sailed out of Plymouth, they cheered us on our way,

And the band played all those patriotic songs;

And the girls we left to cry never thought to ask us why,

And we said that we'd be back before too long.

Oh, it's nice to hear the public is behind us, one and all;

That they think the end will justify the means,

And that until our flag is flying, it's okay to do some dying.

Well you can tell that, Maggie May, to the Marines!



cho:



Well, you've spent a thousand million on your stupid little war,

Not to mention all those widows left to grieve;

And I can't see why, instead, you don't give half a million quid

To each Falklander, and ask them all to leave.

For, while it's hard to leave the island where you were born and

bred,

And it's hard to say goodbye to all your friends,

It's even harder still to die, lose an arm, a leg, an eye,

When you know there are no winners in the end.



cho:



So, here I sit on board our frigate in chilly Falkland sound,

Dodging missiles, bombs and bullets by the ton,

And If I get back to Blighty, I'll give thanks to the Almighty,

Whether Maggie's little war is lost or won.

And the next time I see Maggie or her little Tory crew

Waving flags and spouting patriotic crap,

I'll suggest that they embark, go to war just for a lark,

And maybe die to keep the pink upon the map.



cho:



(Ian Robb. Recorded on the Rose and Crown, Folk Legacy)



@war @parody @politics @sailor

see also MAGGIMAY

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY

La Dame de fer (Maggie May)



Je suis un matelot valide, l'un des fils natifs de Plymouth;

Oh, la Navy a été ma vie depuis que j'ai quitté l'école.

Eh bien, je me suis joint pour avoir un emploi; c'était soit ça, soit voler,

Et je n'ai jamais pensé que je maudirais la règle de Britannia.

Mais je n'avais pas vraiment négocié pour toi, chère Maggie May,

Même si je l'avais entendu dire que la guerre nous rétablirait,

Et quand les Argies ont envahi, j'aurais dû savoir que vous feriez

décider

Pour montrer que vous êtes un homme, nous devons nous battre.



cho: Oh Maggie, Maggie May, tu nous as envoyé loin

Pour combattre sur le rivage cruel des Malouines;

Dans l'océan austral glacial, nous sommes pris dans le

agitation

De la guerre inutile de ton politicien sanglant.



Eh bien, c'est vrai que les insulaires des Malouines avaient des raisons de se plaindre,

Car personne n'aime disparaître dans la nuit.

Et il est clair pour tout parieur que les généraux de leur junte

Je voulais juste une excuse pour commencer un combat.

Ah, mais Maggie, tout comme eux, tu n'étais pas trop populaire chez toi

Et la pensée de la guerre vient de remplir votre c?ur de joie,

"Nous les combattrons sur les plages", pourrait-on entendre dans tous vos

discours,

Et la fichue marine a dû prendre la mer.



cho:



Alors que la flotte quittait Plymouth, ils nous ont encouragés sur notre chemin,

Et le groupe a joué toutes ces chansons patriotiques;

Et les filles que nous avons laissées pleurer n'ont jamais pensé à nous demander pourquoi,

Et nous avons dit que nous serions de retour avant trop longtemps.

Oh, c'est agréable d'entendre que le public est derrière nous, tous et chacun;

Qu'ils pensent que la fin justifiera les moyens,

Et que jusqu'à ce que notre drapeau flotte, il est normal de mourir.

Eh bien, vous pouvez dire cela, Maggie May, aux Marines!



cho:



Eh bien, vous avez dépensé mille millions pour votre stupide petite guerre,

Sans parler de toutes ces veuves laissées pour pleurer;

Et je ne vois pas pourquoi, au lieu de cela, vous ne donnez pas un demi-million de chique

À chaque Malouine, et demandez-leur tous de partir.

Car, même s'il est difficile de quitter l'île où vous êtes né et

élevé,

Et il est difficile de dire au revoir à tous vos amis,

Il est encore plus difficile de mourir, de perdre un bras, une jambe, un ?il,

Quand vous savez qu'il n'y a pas de gagnants à la fin.



cho:



Donc, ici je m'assois à bord de notre frégate dans le son froid des Falkland,

Esquiver les missiles, les bombes et les balles par tonne,

Et si je reviens à Blighty, je rendrai grâce au Tout-Puissant,

Que la petite guerre de Maggie soit perdue ou gagnée.

Et la prochaine fois que je verrai Maggie ou sa petite équipe Tory

Agitant des drapeaux et jaillissant de la merde patriotique,

Je proposerai qu'ils s'embarquent, partent en guerre juste pour une alouette,

Et peut-être mourir pour garder le rose sur la carte.



cho:



(Ian Robb. Enregistré sur la Rose and Crown, Folk Legacy)



@war @parody @politics @sailor

voir aussi MAGGIMAY

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RG

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