Frozen Logger - Unknown

THE FROZEN LOGGER



As I sat down one evening within a small cafe,

A forty year old waitress to me these words did say:



"I see that you are a logger, and not just a common bum,

'Cause nobody but a logger stirs his coffee with is thumb.



My lover was a logger, there's none like him today;

If you'd pour whiskey on it he could eat a bale of hay



He never shaved his whiskers from off of his horny hide;

He'd just drive them in with a hammer and bite them off inside.



My lover came to see me upon one freezing day;

He held me in his fond embrace which broke three vertebrae.



He kissed me when we parted, so hard that he broke my jaw;

I could not speak to tell him he'd forgot his mackinaw.

I saw my lover leaving, sauntering through the snow,

Going gaily homeward at forty-eight below.



The weather it tried to freeze him, it tried its level best;

At a hundred degrees below zero, he buttoned up his vest.



It froze clean through to China, it froze to the stars above;

At a thousand degrees below zero, it froze my logger love.



They tried in vain to thaw him, and would you believe me, sir

They made him into axeblades, to chop the Douglas fir.



And so I lost my lover, and to this cafe I come,

And here I wait till someone stirs his coffee with his thumb."



-----------------------------------------------------------------



Words and music by James Stevens

@work @west @love

filename[ FROZLOGR

DC

===DOCUMENT BOUNDARY

LE BÛCHER CONGELÉ



Alors que je m'asseyais un soir dans un petit café,

Une serveuse de quarante ans m'a dit ces mots:



"Je vois que vous êtes un bûcheron, et pas seulement un clochard commun,

Parce que personne d'autre qu'un bûcheron ne remue son café avec son pouce.



Mon amant était bûcheron, il n'y en a pas comme lui aujourd'hui;

Si vous y versiez du whisky, il pourrait manger une balle de foin



Il n'a jamais rasé ses moustaches hors de sa peau cornée;

Il venait de les enfoncer avec un marteau et de les mordre à l'intérieur.



Mon amant est venu me voir un jour glacial;

Il m'a tenu dans son étreinte affectueuse qui a brisé trois vertèbres.



Il m'a embrassé quand nous nous sommes séparés, si fort qu'il m'a cassé la mâchoire;

Je ne pouvais pas parler pour lui dire qu'il avait oublié son mackinaw.

J'ai vu mon amant partir, déambulant dans la neige,

Aller gaiement à la maison à quarante-huit ci-dessous.



Le temps qu'il a essayé de le geler, il a fait de son mieux;

À cent degrés au-dessous de zéro, il a boutonné son gilet.



Il a gelé net jusqu'en Chine, il a gelé jusqu'aux étoiles ci-dessus;

À mille degrés au-dessous de zéro, il a gelé mon amour d'enregistreur.



Ils ont essayé en vain de le décongeler, et voudriez-vous me croire, monsieur

Ils l'ont transformé en haches, pour couper le sapin de Douglas.



Et donc j'ai perdu mon amant, et dans ce café je viens,

Et là, j'attends que quelqu'un remue son café avec son pouce. "



-------------------------------------------------- ---------------



Paroles et musique de James Stevens

@work @west @love

nom de fichier [FROZLOGR

DC

=== LIMITE DU DOCUMENT