Dear Elizabeth - Unknown

DEAR ELIZABETH

by Jacqui MacDonald



Dear Elizabeth, I hope this letter finds you just the same as

it leaves me

Dear Elizabeth, we had a storm, a Northwest gale at sea

Dear Elizabeth, we sail at noon, I'll bring you a present back

Dear Elizabeth, I'll se you soon, Goodbye for now, yours, Jack



My great-great grandfather sailed the seas in a clipper as mate

He was born in Carneyshiels in 1828

And he courted dear Elizabeth, who saved each letter from her

beau

Now I've read each one, each verse a tear, yet I feel all aglow



His letters weren't the usual ones, full of "I love you, my dear"

No kisses, no forget me nots, but still one thing was clear

He loved her dearly in his way, as a sailor honest and rough

For the way he began each sentence, to her was quite enough

So now I sigh and shed a tear about that man so fine

And think that's what Elizabeth did each time she read a line

And as she was a sitting there at home and as he sailed on the sea

They never knew his letters few would do the same to me



sung by Jacqui and Bridie

@courtship @sailor

filename[ DEARELIZ

SF

===DOCUMENT BOUNDARY

CHER ELIZABETH

par Jacqui MacDonald



Chère Elizabeth, j'espère que cette lettre vous trouve exactement comme

ça me laisse

Chère Elizabeth, nous avons eu une tempête, un coup de vent du nord-ouest en mer

Chère Elizabeth, nous naviguons à midi, je vous ramènerai un cadeau

Chère Elizabeth, je te verrai bientôt, au revoir pour le moment, à toi, Jack



Mon arrière-arrière-grand-père a navigué sur les mers en clipper en tant que compagnon

Il est né à Carneyshiels en 1828

Et il a courtisé la chère Elizabeth, qui a sauvé chaque lettre d'elle

beau

Maintenant j'ai lu chacun, chaque verset une larme, pourtant je me sens tout enflammé \u003cbr />


Ses lettres n'étaient pas les habituelles, pleines de "Je t'aime, ma chère"

Pas de bisous, pas de ne m'oublie pas, mais encore une chose était claire

Il l'aimait beaucoup à sa manière, en marin honnête et brutal

Pour la façon dont il commençait chaque phrase, pour elle était tout à fait suffisant

Alors maintenant je soupire et verse une larme sur cet homme si bien

Et je pense que c'est ce qu'Elizabeth a fait à chaque fois qu'elle lisait une ligne

Et comme elle était assise là à la maison et comme il naviguait sur la mer

Ils n'ont jamais su ses lettres, peu me feraient la même chose



chanté par Jacqui et Bridie

@courtship @sailor

nom de fichier [DEARELIZ

SF

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