Admiral and Enlisted Men - Unknown

ADIEU TO BON COUNTY

lt's a great separation my friends they have caused me,

By bearing their spite that my favor was won;

lt's a great separation, likewise a vexation,

And they shall be sorry for what they have done.

chorus:

Eat, drink, and be jolly, and care not for folly,

And drownd away sorrow in a bottle of wine;

Pass it to the boys in full-flowing bumpers,

And play on the fiddle to pass away time!

Adieu to Bon County, I'm bound for to leave you,

And seek my heart's fortune in some foreign land,

Where bottles and glasses is my greatest comfort

And when we do meet we'll jine heart and hand.

Farewell to my friends and my good old neighbors,

Likewise to the girl I'll never see more.

This world it is wide, and I'll spend it in pleasures-

I don't care for no one that don't care for me.

My fortune is small, so freely I own it,

What little I have it is all of my own.

I might have lived longer to enjoy it with pleasure,

lf my poor friends had a' let me alone.

I have money a plenty to bear my expenses,

And when it's all gone I'll chop wood and get more.

When death it comes on me I'll freely go with it,

Pay up my last dues and go with it home.

From the Samuel P. Bayard Collection; collected from Allen Wayte,

West Virginia.

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RG

===DOCUMENT BOUNDARY===

ADIEU AU COMTÉ DE BON

C'est une grande séparation que mes amis m'ont causé,

En portant leur dépit que ma faveur a été gagnée;

C'est une grande séparation, aussi une vexation,

Et ils seront désolés pour ce qu'ils ont fait.

refrain:

Mangez, buvez et soyez joyeux, et ne vous souciez pas de la folie,

Et noyé le chagrin dans une bouteille de vin;

Passez-le aux garçons dans des pare-chocs fluides,

Et jouez sur le violon pour passer du temps!

Adieu au comté de Bon, je vais vous quitter,

Et chercher la fortune de mon c?ur dans une terre étrangère,

Où les bouteilles et les verres sont mon plus grand confort

Et quand nous nous rencontrerons, nous jierons coeur et main.

Adieu mes amis et mes bons vieux voisins,

De même pour la fille, je n'en verrai plus jamais.

Ce monde est large, et je le passerai en plaisirs-

Je me fiche de personne qui ne se soucie pas de moi.

Ma fortune est petite, donc je la possède librement,

Le peu que j'ai, c'est le mien.

J'aurais peut-être vécu plus longtemps pour en profiter avec plaisir,

Si mes pauvres amis avaient un laissez-moi tranquille.

J'ai beaucoup d'argent pour supporter mes dépenses,

Et quand tout sera parti, je couperai du bois et j'en aurai plus.

Quand la mort viendra sur moi, j'irai librement avec elle,

Payer ma dernière cotisation et rentrer chez moi.

De la collection Samuel P. Bayard; recueillies auprès d'Allen Wayte,

Virginie-Occidentale.

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RG

=== LIMITE DU DOCUMENT ===